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Hier, je vous parlais de mdBook, avec un petit reminder de Deckset et aujourd’hui, je suis tombé sur Slidev, un outil très sympa pour vous aider à concevoir vos présentations style Powerpoint.

Sauf qu’avec cet outil, fini les heures perdues à galérer sur la mise en forme et la disposition de vos slides. Grâce à sa syntaxe intuitive basée sur Markdown, vous pourrez vous concentrer vraiment sur le contenu et laisser Slidev s’occuper du reste. En plus de son éditeur intégré, Slidev propose même une extension pour VS Code qui vous permettra de profiter d’une expérience de développement optimale, avec tous les avantages de votre IDE préféré.

Mais attention, Slidev ne se contente pas d’être un simple convertisseur Markdown vers des slides. Il propose des tas de fonctionnalités super cools comme une coloration syntaxique impeccable, et même la possibilité d’exécuter du code, peu importe le langage, en direct pendant votre présentation. Je vous invite à regarder cet exemple pour vous rendre compte du délire. Il y en a plein des comme ça.

Slidev vous offre également un choix de thèmes varié et professionnels, que vous pourrez personnaliser à votre guise ou même créer de toutes pièces. Votre présentation aura alors un look unique qui reflètera votre style personnel. ! Il offre également des fonctionnalités avancées comme le mode présentateur, l’enregistrement vidéo, l’exportation vers différents formats (PDF, PNG, SPA), et bien plus encore

Et grâce à son intégration parfaite avec Vue.js, vous pourrez même créer des composants interactifs directement dans vos slides pour afficher par exemple des graphiques dynamiques, des quiz, des sondages en temps réel, et bien plus encore. Bref, vous l’aurez compris, c’est un super projet open source, totalement hackable qui vous fera gagner bien du temps.

Pour démarrer un nouveau projet Slidev, utilisez la commande :

npm init slidev@latest

Et si vous préférez utiliser l’interface en ligne, rendez-vous sur sli.dev.

Je suis sûr que ça vous plaira !

A vous de jouer maintenant et n’oubliez pas, la seule limite est votre créativité !



Vous rêvez de créer votre propre livre électronique ou une bonne grosse documentation technique mais vous ne savez pas par où commencer ?

Ne cherchez plus, mdBook est là pour vous !

Il s’agit d’un outil codé en Rust, qui a l’aide de quelques commandes simples, vous permettra d’initialiser la structure de votre ouvrage, de rédiger votre contenu en Markdown, de personnaliser le rendu et de le mettre en ligne. Voici un exemple de ce que ça peut donner comme rendu.

Pour démarrer votre aventure avec mdBook, rien de plus simple. Installez l’outil en suivant les instructions sur le site officiel, puis lancez la commande suivante dans un terminal :

mdbook init mon-premier-livre

Et voilà, le squelette de votre chef-d’œuvre est prêt et vous n’avez plus qu’à rédiger !

mdBook regorge de fonctionnalités pour mettre en forme votre contenu. Vous pouvez organiser vos chapitres dans le fichier SUMMARY.md, ajouter une page d’introduction dans README.md, créer votre propre template, et même inclure des images et autres ressources. Et une fois votre prose finalisée, vous pourrez donner vie à votre livre à l’aide de la commande :

mdbook serve

Celui-ci va alors générer une version web interactive accessible via un serveur web, avec une navigation et moteur de recherche intégré, de vos écrits. Et la commande

mdbook build

… vous permettra de générer une version HTML de votre bouquin.

Je trouve ça très satisfaisant de passer par le markdown pour la rédaction et la mise en forme. Je le faisais pour des prez style Powerpoint mais full markdown à l’époque où je faisais des confs, et c’était un vrai gain de temps.

Mais le véritable atout de mdBook, c’est sa capacité à automatiser la publication de votre livre. Grâce à l’intégration continue, chaque modification que vous apportez peut être instantanément mise en ligne. Comme ça, fini les mises à jour manuelles bien reloues !

Bref, vous l’aurez compris, mdBook est un excellent outil pour les auteurs qui aiment partager leur travail avec leur communauté. Ah, j’allais oublier ! Si vous avez besoin d’inspiration, n’hésitez pas à explorer la documentation officielle de mdBook. Vous y trouverez des astuces, des exemples et même des témoignages d’auteurs conquis.


Si votre disque dur se rempli à vue d’œil et que vous ne savez pas comment faire le ménage, rmlint peut vous aider. Cet outil open source, disponible sur la plupart des distributions Linux, va vous permettre d’optimiser votre espace disque en un rien de temps.

Contrairement à d’autres outils du même genre, il se distingue par sa rapidité d’exécution en scannant vos disques en un clin d’œil pour dénicher tous les fichiers qui encombrent inutilement votre précieux espace de stockage. Au menu des fonctionnalités, rmlint est capable de détecter :

  • Les fichiers dupliqués et les répertoires en double
  • Les binaires non strippés (c’est-à-dire avec des symboles de débogage)
  • Les liens symboliques brisés
  • Les fichiers et répertoires vides
  • Les fichiers avec des ID utilisateur ou groupe invalides

Mais ce n’est pas tout puisqu’il propose également un mode paranoïa pour ceux qui veulent être sûrs à 100% de ne pas supprimer de fichiers importants par erreur. Il offre également de multiples options pour s’adapter à vos besoins et peut même se limiter aux fichiers plus récents qu’une certaine date.

Pour les fans de systèmes de fichiers modernes comme btrfs, sachez que rmlint les gère comme un chef et peut tirer parti des fonctionnalités avancées de ce dernier pour vous faire gagner encore plus d’espace disque.

Pour l’installer sous Debian / Ubuntu, un petit

sudo apt install rmlint

fera l’affaire. Ensuite pour le lancer, tapez simplement la commande rmlint suivie du répertoire que vous voulez analyser. Par exemple :

rmlint /home/utilisateur/dossier-bordel

Vous pouvez ajouter des options pour affiner l’analyse, comme -o pour spécifier un format de sortie ou

--paranoid

pour activer le mode paranoïa si vous ne faites pas confiance aux hashs retournés par l’outil et que vous craignez que des fichiers non-duplicate soient supprimés.

Et voilà, en quelques secondes (ou minutes selon la taille du répertoire), rmlint vous pondra un joli rapport listant tous les fichiers qui méritent de passer à la trappe. Il ne vous restera plus qu’à les supprimer d’un coup de rm bien placé et à profiter de vos gigaoctets fraîchement libérés !

Foncez sur https://rmlint.readthedocs.io/en/latest/ pour télécharger rmlint et découvrir toutes ses options. Votre disque dur vous dira merci !


— Article en partenariat avec Surfshark

Lorsque l’on parle d’un VPN, c’est principalement avec l’idée de disposer d’un outil qui va protéger vos données d’un point de vue professionnel (protéger votre équipe avec Surfshark). Ou pour son côté « amusement » comme débloquer les catalogues VOD/streaming, protéger sa TV intelligente, etc.

Mais une autre très bonne façon d’utiliser un VPN est de protéger la famille au sein même de votre habitation. Ce que fait plutôt bien Surfshark pour plusieurs raisons. Et la première n’est autre que le fait qu’il s’agit quasi du seul service du genre à proposer la protection d’un nombre illimité de machines et simultané. Donc que vous soyez célibataire ou que vous viviez avec une famille nombreuse c’est pareil, un seul abonnement et tout le monde en bénéficie.

Bon après même si le nombre d’appareils pris en compte peut être illimité … si la protection est foireuse ça n’a pas grand intérêt. Mais là encore Surfshark répond aux attentes. Outre le fait de n’avoir jamais été prit en flag de mentir sur sa politique de non-conservation de vos activités (multiples audits au fil des années), il repose sur la panoplie des meilleurs standards du domaine : chiffrement AES 256, protocole IKEv2/IPsec, support de Wireguard/OpenVPN/L2TP, etc.

Maintenant, comment est-ce qu’un VPN protège concrètement les utilisateurs de votre maison ?

Déjà en modifiant votre adresse IP. Vous savez sans doute déjà qu’une adresse IP est celle qui identifie votre machine sur Internet. Toutes vos actions y sont liées : achat en ligne, message sur un réseau social, etc. Il est donc assez facile de relier votre comportement en ligne à votre appareil.

Surfshark vous permet de modifier cette dernière en changeant de serveur, de manière aléatoire tous les x temps … ou de la garder fixe si besoin. En changeant d’IP, vous donnez aux sites que vous visitez (même à votre fournisseur d’accès via le mode camouflage) une localisation qui est différente de votre vraie position.

Le chiffrement de vos données est un autre aspect de cette protection. Par défaut tout ce que vous faites en ligne sera chiffré avec les meilleurs algorithmes du moment. Si une personne mal intentionnée venait à intercepter votre trafic, il ne pourrait rien en faire. Ce qui est plutôt appréciable, surtout si vous habitez un pays où le gouvernement en place aime jouer au petit curieux.

L’idéal dans ce cas est bien entendu de sécuriser le routeur de la maison, celui par lequel tout passe. Mais simplement installer le VPN sur tous vos appareils fera aussi très bien le taf. Et ce qui est plutôt cool c’est que Surfshark supporte toutes les religions, de Windows à Linux en passant par macOS, Android, iOS, BlackBerry, vos smart TV, navigateurs et mêmes consoles de jeux. Bref il est plus flexible qu’un contorsionniste.

Un point à prendre en compte est de choisir un VPN qui corresponde à votre situation. On pense souvent à des serveurs situés un peu partout dans le monde sans faire attention à sa propre géoloc. Or vous pouvez très bien avoir envie de regarder un contenu réservé à la France … depuis la France. Sans donner votre position. De ce côté Surfshark est blindé avec ses 3200+ serveurs (quasi tous en 10 Gb/s) répartis dans 100+ pays. Pas le plus grand parc de serveurs des VPN, mais le mieux réparti et avec l’un des meilleurs rapport qualité/prix du marché.

Comme vous êtes l’adulte de la maison (hum hum), ce sera à vous d’éduquer vos enfants sur le sujet.  Surtout les plus jeunes (et les plus vieux) qui ne sont pas forcément au courant des risques potentiels dans ce bourg mal famé que sont les Internets. Et avec le pack Surfshark One dont j’ai parlé dernièrement et intégré par défaut depuis peu, il vous permet de disposer en plus d’un antivirus, d’un système d’alerte, de la création d’identité alternative, d’un moteur de recherche privé, d’un surf sans publicités ni traqueurs et un tas d’autres options !

Récemment le site du VPN aux dents de requin a publié un classement mondial de la qualité de vie numérique. Et notre hexagone s’y classe … premier devant la Finlande et le Danemark. Place que l’on doit surtout au prix de nos connexions (merci Free), parce que niveau cybersécu et infrastructure électronique nous sommes bien plus mal placés (autour de la 15e place). Comme quoi il y a encore de la marge.

Et tout cela vous est accessible pour moins de 3.25€/mois TTC (abonnement 2 ans). Satisfait ou remboursé durant 30 jours, donc pas de prise de risques, vous pouvez tester ça au calme et vous faire votre idée. Niveau des modes de paiement il y en a pour tout le monde : de PayPal à la CB, en passant par les solutions comme Google Pay/Amazon Pay et les cryptomonnaies.

N’attendez plus, essayez Surfshark VPN !


Si vous avez encore un vieux PC sous Windows Vista qui prend la poussière dans un coin, ne le jetez pas tout de suite ! En effet, grâce à Windows Vista Extended Kernel, vous allez pouvoir lui donner un coup de jeune et profiter des logiciels récents normalement incompatibles.

Développé par le créateur de Supermium, un navigateur Chromium optimisé pour les anciens Windows, cet outil d’optimisation système est une véritable cure de jouvence pour votre machine vintage. En mettant à jour les fichiers important de ce système sorti en 2007, notamment les DLL, il lui permet de faire tourner des applications récentes comme Firefox, OBS Studio ou encore Chromium.

L’avantage, c’est que vous pourrez conserver votre bonne vieille installation et vos habitudes. Et vous n’aurez pas besoin de formater ou de changer d’OS, mais juste d’installer cet add-on et le tour sera joué. Comme ça, votre vieille bécane sera parée pour surfer sur le web, sans galérer avec des certificats expirés ou des technologies obsolètes.

Bien sûr, on ne parle pas de performances de haut vol, hein… N’espérez pas faire tourner les derniers jeux AAA du moment ou faire du montage vidéo 4K. Mais pour une utilisation bureautique et multimédia de base, ça fera largement l’affaire. C’est toujours ça de pris !

Bien sûr, niveau sécurité, c’est pas forcement le pied, donc soyez quand même trèèèès prudent. Notez aussi qu’il existe d’autres solutions beaucoup plus pertinente pour upgrader un PC vieillissant, comme installer une distribution Linux légère. Mais si vous tenez à rester sous Windows et que vous avez un faible pour Vista, y’a cet outil.

Vous pouvez télécharger Windows Vista Extended Kernel sur le site de l’auteur.

Allez, je vous laisse, j’ai un Pentium 4 qui m’attend pour une petite LAN de Quake 3 Arena à l’ancienne.

Bah quoi ?