Varengeville-sur-Mer

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Varengeville-sur-Mer
Varengeville-sur-Mer
Église Saint-Valery et cimetière marin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CA de la Région Dieppoise
Maire
Mandat
Patrick Boulier
2020-2026
Code postal 76119
Code commune 76720
Démographie
Gentilé Varengevillais
Population
municipale
955 hab. (2021 en diminution de 3,05 % par rapport à 2015)
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 54′ 24″ nord, 0° 59′ 44″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 102 m
Superficie 10,75 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Hautot-sur-Mer
(banlieue)
Aire d'attraction Dieppe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dieppe-1
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Liens
Site web https://www.varengeville-sur-mer.fr/

Varengeville-sur-Mer est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Elle est connue pour son cimetière marin, où sont enterrés, entre autres, Jean Francis Auburtin, Georges Braque, concepteur d'un vitrail de l'église, Georges de Porto-Riche et Albert Roussel. L'impressionniste français Claude Monet a visité Varengeville et peint ses paysages.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Plage de Vastérival, écart de Varengeville, où un un promoteur envisage sur le plateau un vaste lotissement au début du XXe siècle (projet resté inachevé)[1].

Varengeville-sur-Mer est un village normand du pays de Caux situé entre la l'ancienne RN 25 (actuelle RD 925) et la Manche, à cinq kilomètres à l'ouest de Dieppe, entre Pourville et Sainte-Marguerite-sur-Mer.

Elle dispose de deux plages sauvages, la plage du petit Ailly appelée aussi la glacière[2] et la plage de la gorge des moutiers, accessible uniquement à pied, située sous l'église Saint-Valery et son fameux cimetière marin, en prolongement du parc des Moutiers.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Hautot-sur-Mer, Longueil, Offranville, Ouville-la-Rivière et Sainte-Marguerite-sur-Mer.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 845 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dieppe à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Géologie[modifier | modifier le code]

Le territoire est traversé par le synclinal du Vexin, aussi appelé synclinal de Varengeville[10]. C'est dans cette gouttière normande de direction SE-NO que se sont déposés les sédiments sablo-argileux sur la série stratigraphique de la craie. Le bassin parisien a en effet subi les contrecoups de l'orogenèse alpine qui a déformé ou ondulé les terrains. Le rejeu des structures hercyniennes lors de cette orogenèse a donné une succession d'anticlinaux et de synclinaux de direction varisque, le plus remarquable étant l'anticlinal du pays de Bray[11].

La présence de nappes phréatiques (entre 2 et 12 mètres de profondeur au sommet des argiles imperméables et dans les niveaux sableux perméables) qui s'écoulent vers la mer, engendre une érosion importante des falaises sablo-argileuses. Leur glissement due à l'alternance de matériaux perméables imperméables, est à l'origine d'arrière-falaises que l'on appelle localement frettes et qui voient des pans entiers de leurs matériaux se décoller et former des crevasses pour glisser sur les replats. Dans ces conditions, il se forme un front d'érosion de plusieurs kilomètres de long et de centaines de mètres. L'érosion agit sur le haut de falaise (-80 m depuis 1930) et sur le bas de la falaise (-60 m en 100 ans)[12].

Le littoral est jalonné de valleuses.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Varengeville-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hautot-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[16] et 3 348 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,1 %), forêts (23,3 %), prairies (13,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), zones urbanisées (10 %), zones humides côtières (0,4 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 830, alors qu'il était de 776 en 2015 et de 758 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 59,7 % étaient des résidences principales, 36,5 % des résidences secondaires et 3,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Varengeville-sur-Mer en 2020 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (36,5 %), très supérieure à celle du département (4,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %), caractéristique d'une commune balnéaire. Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,7 % en 2015), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Varengeville-sur-Mer en 2020.
Typologie Varengeville-sur-Mer[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 59,7 87,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 36,5 4,1 9,7
Logements vacants (en %) 3,8 8,1 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Varengeville

Le nom de la localité est attesté sous les formes Waringivilla en 1035, Ware[n]gervilla au XIIe siècle[25].

Il s'agit d'un type toponymique médiéval en -ville « domaine rural » → « village » (mot issu du gallo-roman villa « domaine rural »[25] (latin villa rustica) et précédé, comme c'est le plus souvent le cas, d'un anthroponyme d'origine germanique (ou anglo-scandinave en Normandie). Il faut vraisemblablement avoir recours au nom de personne francique Warengarius[25], encore attesté comme patronyme en Seine-Maritime sous la forme Varanger[26] et dans la Sarthe, notamment sous les formes Guéranger et Garanger. Le maintien du [w] initial puis son passage à [v] au XIIe siècle s'explique par la situation de Varengeville dans la partie septentrionale de la Normandie, alors que, plus au sud (et en français standard), on aurait abouti à *Garangeville. Homonymie avec Saint-Pierre-de-Varengeville (Seine-Maritime, Warengiervillam XIIe siècle).

Remarque : Dans un ouvrage postérieur, François de Beaurepaire rapproche Varengeville de Varenguebec (Manche, Warengebech 1185) et Varengron (bois de) à Vasteville (Warengelon 1274) et Varengron (Calvados, Saint-Contest, Warengelon 1398) qui sont, pour lui, formés avec le nom de personne germanique Waringus[27], associé pour le premier à l'appellatif -bec, du vieux norois bekkr « ruisseau » et pour le second à -lon, élément issu du norois lundr « bosquet »[27]. Les patronymes Varangue / Varengue qui en procèdent sont uniquement caractéristiques des départements normands, notamment de la Manche et de la Seine-Maritime[28]. Varengeville se situe par ailleurs dans la zone de diffusion de la toponymie scandinave. Souvent les noms de personnes scandinaves se sont confondus avec des noms germaniques continentaux ou anglo-saxons. Il existe bien un nom de personne norois de forme proche VæringR[29], variante Væringi « Varègue ».

Vasterival

Vallon et plage à Varengeville-sur-Mer (manoir de Wathierval 1333, vallon de Vatrival 1762) : « Le val de Vautier ou Vatier », formes normandes de Gauthier. Le s graphique dans Vaste- destiné à marquer la voyelle [a] fermée et longue, est apparu fin XVIIIe siècle. La prononciation traditionnelle est attestée par la forme de 1762, Vatrival.

Histoire[modifier | modifier le code]

On voyait encore au XIXe siècle de nombreuses traces de fortifications au lieu-dit le Câtelier, malheureusement disparues aujourd'hui et qui n'ont jamais fait l'objet de datations précises.

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, dans le sillon de la renommée de Dieppe, devenue station balnéaire à la mode, Varengeville est un lieu fréquenté par les artistes, comme Monet ou Turner.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Offranville[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Dieppe-1

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Varengeville-sur-Mer est membre de la communauté d'agglomération de la Région Dieppoise, dite Dieppe-Maritime, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[31]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1835   Pierre Godeby    
1899   Eugène Leblond    
1906   M. Bouteiller    
         
avant 1988 1989 André Carpentier[32]   Professeur de médecine
mars 1989 mars 2008 Christian Blanckaert[33]   Directeur de société[34]
mars 2008 En cours
(au 18 décembre 2023)
Patrick Boulier[35] Centre-gauche [36] Chef d'établissement scolaire retraité
Président de la CA de la Région Dieppoise (2008 → 2014 et 2017 → 2023[37])
Réélu pour le mandat 2014-2020[38],[39],[40]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].

En 2021, la commune comptait 955 habitants[Note 3], en diminution de 3,05 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1961 2721 2651 1251 1381 0951 1601 1401 087
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0621 0401 0621 0651 0921 0541 0651 0201 010
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9969429728189311 011986991995
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0119869981 0501 0481 1791 0711 0401 005
2018 2021 - - - - - - -
943955-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

« Entre le cap d'Ailly et Varengeville, je m'étais perdu dans des chemins creux et j'errais à la recherche de la mer. »

— Paul Morand, Le réveille-matin, 1937, p.93

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Les jardins de Varengeville-sur-mer

  • le Bois de Morville, jardin privé créé par le paysagiste Pascal Cribier pour Eric Choquet.
  • le jardin du Vasterival se situe sur la commune voisine de Sainte-Marguerite-sur-mer.

Monuments et autres lieux

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Varengeville dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Varengeville-sur-Mer Blason
De gueules à une molette de huit rais d'argent ajourée d'azur, au chef aussi d'argent chargé d'un lion passant du champ.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • J. Daoust, Varengeville-sur-mer. Sainte-Marguerite-sur-mer. Les églises, Luneray I.B. Impressions, 2001.
  • Philippe Clochepin, Des Nouvelles de Varengeville, deux tomes, éditions Galerie Orion, 2020 et 2021.
  • Philippe Clochepin, Une église au bord des flots, éditions Galerie Orion, 2021.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Varengeville-sur-Mer » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Varengeville-sur-Mer - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Varengeville-sur-Mer - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Didier Bondue, Alain Dovifat, Varengeville-sur-Mer et Sainte-Marguerite-sur-Mer, éditions des Falaises, , p. 19
  2. La valleuse du Petit Ailly balayée par un vent de couloir refroidissant, est appelée localement ainsi, en raison de l'installation d'une glacière à vocation marchande en haut de la gorge au début du XXe siècle. On y stockait de la glace (venue notamment de Norvège) nécessaire à la conservation de certains aliments et pour fournir aux bateaux de pêche le moyen de conserver le poisson. Cf Didier Bondue, Alain Dovifat, Varengeville-sur-Mer et Sainte-Marguerite-sur-Mer, éditions des Falaises, , p. 15
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Varengeville-sur-Mer et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. Coupe et carte géologique de la côte d'Albâtre, tirée de (en) Pauline Letortu et al., « Retreat rates, modalities and agents responsible for erosion along the coastal chalk cliffs of Upper Normandy: The contribution of terrestrial laser scanning », Geomorphology, vol. 245, no 2,‎ , p. 3-14 (DOI 10.1016/j.geomorph.2015.05.007).
  11. Gérard Bignot, « La Haute-Normandie » In: Aspects et évolution géologiques du Bassin Parisien, Cavelier C. & Lorenz (coord.), Bulletin d’information de l’Association des Géologues du Bassin de Paris, mém. hors sér., 6, 1987, p. 203-224
  12. Didier Bondue, Alain Dovifat, Varengeville-sur-Mer et Sainte-Marguerite-sur-Mer, éditions des Falaises, , p. 14
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Hautot-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dieppe », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1) (OCLC 6403150). p. 159.
  26. Géopatronyme : Varanger [1]
  27. a et b François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 367
  28. Varengue sur le site de Géopatronyme (lire en ligne) [2]
  29. Site de Nordic Names : nom de personne VæringR (lire en anglais) [3]
  30. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. « Les maires de Varengeville-sur-Mer », sur francegenweb.org (consulté le ).
  32. « Près de Dieppe, le cabinet médical inauguré par le professeur Carpentier : Le nouveau cabinet médical, ouvert depuis le mois de juillet, a été inauguré vendredi 30 novembre par le professeur Alain Carpentier, à Varengeville-sur-Mer », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Pierre-Henri de Menthon, « Ma Normandie : Luxe, campagne et sérénité : L’ex-directeur général d’Hermès, Christian Blanckaert, a voyagé autour du monde mais se ressource à Varengeville, commune cauchoise où il a grandi et dont il fut maire durant trois décennies. », Challenges,‎ (lire en ligne).
  34. Carole Bellemare avec Caroline Beyer, « Christian Blanckaert, un homme du luxe à la barre de Petit Bateau », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  35. « Patrick Boulier - Maire Mairie de Varengeville-sur-Mer »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur normandieonline.com, (consulté le ).
  36. Patrick Boulier retrouve la tête de l'agglomération de Dieppe, 3 mai 2017
  37. Augustin Bouquet des Chaux, « Patrick Boulier démissionne de son poste de président de Dieppe-Maritime : Le président de Dieppe-Maritime, Patrick Boulier, a décidé de quitter son poste. Le maire de Varengeville-sur-Mer vient de l'annoncer aux maires de l'agglomération », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Si Patrick Boulier quitte son poste de président, il restera maire de sa commune et conserve son mandat de conseiller communautaire. « Aujourd’hui, à presque 73 ans, après 20 ans de mandat et 12 années de Présidence, j’ai le sentiment du devoir accompli et j’estime que le moment est venu de passer le relais » poursuit le futur ex-président de Dieppe-Maritime ».
  38. « Patrick Boulier se représente à Varengeville-sur-Mer », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  39. « Municipales 2020. Le maire sortant de Varengeville-sur-Mer, Patrick Boulier, a présenté sa liste : Patrick Boulier, maire sortant, brigue un nouveau mandat aux élections municipales de mars 2020 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Municipales 2020. Partick Boulier retrouve son fauteuil de maire à Varengeville-sur-Mer : Le conseil municipal a installé Patrick Boulier dans ses fonctions de maire », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Patrick Boulier a été réélu maire à l’unanimité, lundi 25 mai 2020, lors de l’installation du nouveau conseil municipal ».
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  45. Notice no PA00101078.
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