Au Parlement Wallon, je défendrai une politique de mise à l’emploi plus active et contraignante. Je souhaite doper la création d’emplois privés, sources de richesses parce que générateurs de productivités, d’exportations, d’innovation, de recherche et de développement, tout en réduisant la proportion d’emplois subsidiés par les pouvoirs publics.  

Parmi les 250 000 demandeurs d’emplois wallons, l’immense majorité souhaitent ardemment retrouver un travail. Dans le même temps, on dénombre sur le marché plus de 100 métiers en pénurie (enseignants, bouchers, infirmiers, électricien, conducteurs d’engin de chantier, chauffeurs de poids lourds, maçons, plombiers, informaticiens,…). Il faut améliorer l’adéquation entre l’offre et la demande de main d’œuvre.

De nature optimiste, je refuse la fatalité. Et concrètement, je défendrai  pour vous:

• un coaching personnalisé du demandeur d’emploi avec des propositions concrètes de formation dès le premier entretien pour le maintenir en activité et l’amener à définir un vrai projet professionnel en cohérence avec le marché du travail

• l’obligation pour les demandeurs d’emploi de longue durée à poursuivre une formation pour acquérir des qualifications pour un emploi dans une des professions en pénurie

• l’instauration d’une culture de résultats aux différents opérateurs de formation

• une information systématique donnée au demandeur d’emploi via le Forem consacrée à l’auto entreprenariat et aux différents soutiens possibles (Creajob, Challenge,..)