Chaque électeur reçoit par la poste une convocation individuelle qui l’invite à se rendre aux urnes le 25 mai prochain.  Cette convocation, ainsi que la carte d’identité sont les documents à ne pas oublier pour se rendre au bureau de vote.

Selon les communes, le vote se fait soit sur papier via un bulletin de vote  à remplir au crayon expressément prévu à cet effet, soit électroniquement via une carte magnétique introduite dans un ordinateur. L’électeur choisit, alors, à l’aide d’un crayon optique, directement sur l’écran, d’abord la liste, puis les candidats pour lesquels il souhaite voter. Il est toujours possible de corriger son vote tant que la validation n’a pas été opérée.

Pour qu’un vote soit valable, il ne peut concerner qu’une seule liste par scrutin. Il n’est donc pas possible de voter par exemple pour des candidats MR ET pour des candidats issus d’autres partis.

Première étape donc, le choix de la liste.

Deuxième étape, deux choix se présentent à l’électeur :

• soit uniquement cocher la case de tête au-dessus de la liste choisie: cela signifie que l’on accepte la liste et surtout l’ordre des candidats tel que proposé.
• soit voter pour un ou plusieurs candidats de la même liste, qu’ils soient effectifs ou suppléants. Il s’agit ici de votes de préférence que l’on attribue aux candidats de son choix. Chacun d’entre eux bénéficiera d’une voix pleine et entière.

Attention, le vote est dit « blanc », c’est-à-dire si l’électeur n’a émis aucun vote, donc aucun choix, c’est-à-dire qu’il n’a pas voulu choisir ni une liste, ni des candidats. Et le vote est dit « nul » lorsque par un acte volontaire, l’électeur abime le bulletin de vote papier, y met son nom, écrit d’autre choses dessus ou lorsque l’électeur vote à l’aide du crayon pour plusieurs listes ou plusieurs candidats sur différentes listes.