Archives par mot-clef : C’est uniquement parce qu’on s’imagine n’être plus seul. L’isolement

Solitude … / Solidão

Publié le 18 mars 2006 par Marli Trevisani

Solitude Sur un banc où deux êtres, assis côte à côte, ne faisaient qu’une tache noire. – Pauvres gens ! Ce n’est pas du dégoût qu’ils m’inspirent, mais une immense pitié. Parmi tous les mystères de la vie humaine, il en … Lire la suite →

Publié dans Guy de Maupassant | Tagué a mulher é a grande mentira do sonho, apos cada abraço, Apos cada beijo, après chaque étreinte, Après chaque baiser, até o profundo de sua alma, é a vida.j’endure cet abominable supplice d’avoir compris, é terrível, épouvantable, c’est la vie, C’est uniquement parce qu’on s’imagine n’être plus seul. L’isolement, ce sont les femmes qui me font encore le mieux apercevoir ma solitude, cessar o isolamento deles, com os braços esticados sem conseguirmos nos unir, Comment savoir s’il m’aime comme je l’aime ?, condenada à horrivel solidão, d’avoir découvert l’affreuse solitude où je vis, de rêves, de ter descoberto esta horrorosa solidão onde eu vivo, des cris, des voix, ele ironiza, ele me condena, ele me julga, Ele reflete sobre o que lhe disse, eu escuto barulhos, Eu estou sozinho _ é a hora que estẚ chamando. Oh solidão ! Oh pobreza !, eu olho as coisas sem nunca expressar minha opinião, Eu vou sem ninguem comigo, français, gritos, il peuplait la vie de fantômes, infrutuosas experiencias do pobre amor que tenta a impossível união das almas pelos corpos, j’entends des bruits, J’y vais sans personne avec moi, Je suis seul. – C’est l’heure qui sonne. O solitude ! – O pauvreté !, jusqu’au profond de son âme, l’abandon de l’être humain paraît cesser. Quelle erreur !, l’isolement s’agrandit. Et comme il est navrant, le trou noir, les bras tendus, les mystères de la vie humaine, M. Sully Prudhomme, Mais atormentada que nós ainda, Maupassant, me acha medíocre ou bôbo, Me sachant condamnée à l’horrible solitude, mistérios da vida humana, Musset, Nós amamos uns aos outros como se estivéssemos acorrentados, Nous nous aimons les uns les autres comme si nous étions enchaînés, o isolamento cresce. Isso é uma aflição, pertinhos, por esta eterna necessidade de amor que roe nosso coração solitẚrio, portugais, que nous sommes éternellement seuls, sans parvenir à nous joindre, sans personne autour de moi, sans personne de vivant faisant cette même route ténébreuse. Ce souterrain, súplica de ter compreendido, sem ninguem ao redor de mim, sem ninguem de vivo fazendo essa mesma estrada tenebrosa. Este subterrâneo, sensation d’immense bonheur, somos eternamente sozinhos, Sully Prudhomme, textes, tout près, traduction, Un poète, vozes | 2 commentaires

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