• ’We’re not like the Nazis’: Netanyahu reportedly bickered with German FM over ’famine’ in Gaza | The Times of Israel
    https://www.timesofisrael.com/liveblog_entry/were-not-like-the-nazis-netanyahu-reportedly-bickered-with-german-fm-

    A conversation between Prime Minister Benjamin Netanyahu and Germany’s foreign minister yesterday over the humanitarian situation in the Gaza Strip reportedly heated up when Annalena Baerbock charged that Israel is “heading towards famine in Gaza.”

    Channel 13 reports that when the Baerbock offered to show Netanyahu and Strategic Affairs Minister Ron Dermer “photos of hungry [Gazan] children on my phone,” Netanyahu told the German official, “Come and see the pictures of the markets in Gaza, the beaches in Gaza, there’s no famine there.”

    The report comes as photos circulating on social media show stocked market stalls and Gazans enjoying a hot day on the beach, after the Israel Defense Forces withdrew all of its maneuvering ground forces from the Strip two weeks ago, prompting displaced Palestinians to attempt to return to their homes.

    Baerbock reportedly recommended that Israel stop circulating the photos of life supposedly returning to normal in the Palestinian enclave “as they don’t portray the real situation in Gaza. There is hunger in Gaza.”

    At this point, Netanyahu is said to have raised his voice and insisted, “It’s real. It’s reality. It’s not like what the Nazis staged, we’re not like the Nazis who produced fake images of a manufactured reality.”

    According to the Channel 13 report, the German foreign minister responded, “Are you saying that our doctors in the field in Gaza aren’t telling the truth? Are you saying that the international media is lying?”

  • Usbek & Rica - Pourquoi de plus en plus de jeunes Chinois se rendent à leur bureau en pyjama
    https://usbeketrica.com/fr/article/pourquoi-de-plus-en-plus-de-jeunes-chinois-se-rendent-a-leur-bureau-en-

    Candise Lin, une créatrice de contenus spécialisée dans l’analyse des tendances culturelles en Chine, y voit la preuve que les jeunes générations locales ne consentent plus à faire des efforts au-delà du raisonnable, surtout pour « un travail de merde et un salaire misérable ». « Pour beaucoup, c’est une sorte de protestation silencieuse contre leur épuisement et la perdition de leurs âmes au quotidien », analyse-t-elle, témoignages à l’appui. Il faut dire que le marché du travail chinois affiche des difficultés croissantes depuis quelques années, le taux de chômage des 16–24 ans s’établissant actuellement à 14,9 %. « Même pour ceux qui décrochent un emploi, les ennuis ne s’arrêtent pas là : les employeurs chinois sont connus pour exiger un investissement (…) épuisant », souligne Business Insider.

  • Plastics industry heats world 4 times as much as air travel, report finds
    https://thehill.com/policy/energy-environment/4601309-plastics-industry-heats-world-four-times-as-much-as-air-travel-repo

    The industry releases about four times as many planet-warming chemicals as the airline industry, according to the paper from scientists at the Lawrence Berkeley National Laboratory.

    [...] And if plastic production remains constant, by 2050 it could burn through nearly a fifth of the Earth’s remaining carbon budget — the amount of carbon dioxide climate scientists believe can be burned without tipping the climate into unsafe territory.

    [...]

    The researchers found that more than 75 percent of the greenhouse gases generated by plastics are released in the steps before plastics compounds are assembled — as petroleum products are extracted, refined and converted into monomers, the building blocks of common polymers such as polyethylene or polyvinyl chloride.

    #plastique #climat

  • Ces Françaises et Français de confession musulmane « bien installés » qui songent de plus en plus à émigrer
    https://archive.ph/S8OTi#selection-2185.0-2290.1

    Ils ne se connaissent pas, ne se sont jamais croisés. Les mots sont pourtant les mêmes, les sentiments partagés, le désarroi, l’impuissance, l’amertume, la colère, la tristesse. Qu’ils aient 30 ans ou 70 ans. Banquier d’affaires, agent des services publics, ingénieur, professeur ou artiste, ce sont des citoyens français « bien installés », comme ils disent. De confession musulmane et d’origine arabe aussi. « Et ça, en France, c’est la double peine, d’autant plus depuis le 7 octobre 2023 [date de l’attaque du Hamas en Israël] », lance Ismail, 59 ans, peintre parisien.
    Tous les prénoms ont été modifiés, aucun des témoins n’a accepté de parler à visage découvert. Trop d’ennuis potentiels à la clé, craignent-ils. S’ils ont la conviction que les pouvoirs publics, de nombreux médias et une partie de l’opinion se raidissent chaque année davantage à leur égard, l’attaque terroriste du Hamas en Israël marque, à leurs yeux, un nouveau tournant dans la défiance qu’ils pensent susciter.
    Tous dénoncent des discours politico-médiatiques « insupportables » envers les musulmans, une atmosphère « irrespirable, suffocante », un « acharnement des pouvoirs publics » à leur égard. Ils parlent d’un « immense gâchis », évoquent un « déchirement » vis-à-vis d’un pays, le leur, la France, qui leur a « tant donné », qui les a « formés », pour finalement en faire « des citoyens à part », se désolent-ils, « des boucs émissaires sans cesse montrés du doigt », qui se heurtent, professionnellement, à un plafond de verre.

    « Quoi qu’on fasse, quels que soient les efforts fournis, quelles que soient nos compétences, nous sommes assignés à nos origines et à notre identité confessionnelle et empêchés dans nos carrières », souffle Haroun, quinquagénaire, diplômé d’une prestigieuse école de commerce, qui estime ne pas avoir eu la carrière qu’il aurait dû avoir.
    « Les départs se comptent par milliers »
    Certains ont la voix qui flanche lorsqu’ils confient leur attachement à une « République qu’[ils] aiment mais qui ne [les] aime pas », est aujourd’hui persuadé Youssef, 62 ans, fonctionnaire d’Etat et militant associatif, résident à Maubeuge (Nord). « Nos parents nous avaient dit que nous n’étions pas dans notre pays, que nous n’étions que des invités, mais nous n’avons pas voulu les croire. Or, aujourd’hui, force est d’admettre que nous ne sommes pas légitimes en France », poursuit-il.
    Lire aussi (2021) : Article réservé à nos abonnés Discriminations à l’embauche : un phénomène qui reste « généralisé et persistant »
    Au point de songer à émigrer. « Il ne s’agit pas forcément de s’exiler dans un pays musulman, mais de choisir de vivre dans un pays où ils auront les mêmes opportunités que n’importe quel autre citoyen à compétences égales », observe Hanan Ben Rhouma, rédactrice en chef de Saphirnews, un site d’actualités sur le fait musulman. « Il y a toujours eu des départs pour faire sa hijra – retour en terre d’islam – mais ce n’est pas à cela que l’on assiste : aujourd’hui, il s’agit d’une émigration silencieuse de cadres moyens et supérieurs musulmans, qui, confrontés aux discriminations, à la présomption de culpabilité permanente et au plafond de verre, décident, dans la douleur, de quitter la France », décrit Abdelghani Benali, imam de la mosquée de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) et enseignant-chercheur à l’université Sorbonne-Nouvelle.

    Maroc, Emirats, Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni… Chacun d’eux compte, parmi son entourage, des amis ou des membres de leur famille qui ont déjà franchi le pas. Comme le racontent dans leur ouvrage La France, tu l’aimes mais tu la quittes. Enquête sur la diaspora française musulmane (Seuil, 320 pages, 23 euros), à paraître le 26 avril, Olivier Esteves, professeur des universités en civilisation des pays anglophones (université de Lille), Alice Picard, docteure en science politique, spécialiste de la gouvernance de l’islam (laboratoire Arènes), et Julien Talpin, chargé de recherche en science politique au CNRS (Centre d’études et de recherches administratives, politiques et sociales, université de Lille).
    « Il est très difficile de quantifier l’ampleur du phénomène, mais il est certain que depuis quelques années, les départs se comptent par milliers, peut-être même en dizaines de milliers », relate ce dernier, dont l’enquête sociologique s’appuie sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et 140 entretiens approfondis, dont 50 % de bac + 5 au moins. Tous ont quitté la France.
    « Quoi que je fasse, je ne suis qu’un Arabe et un musulman »
    Ismail et Haroun hésitent encore. Tout comme Samir : « Ma femme est médecin, elle est prête à partir, quatre de ses copines, généralistes et dermatologues, sont parties, elles ne sont pourtant pas voilées et ne parlent pas arabe pour certaines, elles sont au Maroc. Mais pour y faire quoi ? C’est le pays de nos parents, pas le nôtre, pas le mien, chez moi c’est la France. »
    Samir a 39 ans, un master de sociologie en poche et quinze années de bons et loyaux services dans la fonction publique territoriale, dans le Nord. « J’y croyais à la réussite républicaine, martèle-t-il. J’avais tort, quoi que je fasse, ça n’est jamais assez. Mon nom est sorti dans la presse dans une affaire absurde de soupçons d’“entrisme communautaire” : quand on vit dans les banlieues, les gens pensent qu’on ne fait que foutre le bordel, et quand on en sort, on est suspecté de vouloir “infiltrer” la République. »
    Samir en est désormais convaincu : son avenir en France est « fichu ». « J’ai tellement travaillé pour arriver là où je suis, mais quoi que je fasse, je ne suis qu’un Arabe et un musulman, se désespère-t-il. Depuis le 7 octobre [2023], je ne parle plus. On me soupçonne de tellement de choses déjà, je ne veux pas que l’on rajoute “antisémite” à la liste. Tout ça procède d’un climat de merde ! »
    Dans le récit de ces citoyens français de confession musulmane, il y a un point de bascule – les attentats de Charlie Hebdo, de l’Hyper Cacher et du Bataclan de 2015 – et un paroxysme – le 7 octobre 2023. Même s’ils évoquent des précédents de natures très différentes, ici ou ailleurs. Les attentats du World Trade Center, à New York, le 11 septembre 2001, qui ont « changé le regard des Occidentaux sur les musulmans », analyse Youssef. De ce côté-ci de l’Atlantique, la loi sur l’interdiction du port de signes religieux ostensibles dans les écoles publiques, en 2004, et les attentats de Toulouse et Montauban perpétrés par Mohammed Merah, en 2012, qui « ont contribué à dégrader notre image », analyse Ismail, qui se sent « abandonné » par la France.

    A leurs yeux, 2015 marque le début de la suspicion permanente « de la part des pouvoirs publics, au travail, dans certains cercles amicaux », décrit Ismail ; des injonctions à « s’exprimer contre, être contre », raconte Hanan Ben Rhouma, de Saphirnews ; « condamner dans la seconde haut et fort les attentats, les messages de haine sur les réseaux, le voile, l’Iran, le Hamas ou que sais-je encore », énumère Haroun ; et des justifications incessantes. Samir n’en revient pas : « J’ai été contraint de montrer à des gens des photos de ma femme en maillot de bain à la plage et de ma fille en train de faire de la gymnastique pour prouver que je n’étais pas un intégriste. Vous n’imaginez pas ce que c’est humiliant. »
    « Il y a une accélération des départs depuis 2015 avec une montée du sentiment de stigmatisation post-attentats, confirme le sociologue Julien Talpin. De nombreuses personnes avec qui nous avons échangé, plus de 70 %, évoquent des expériences de discriminations directes mais beaucoup parlent d’une atmosphère, d’une ambiance dégradée qui fait peser sur eux une pression permanente qui les pousse à faire attention à tout ce qu’ils font, ce qu’ils disent… »
    « Nous sommes le fonds de commerce des politiciens »
    Haroun se fait désormais « discret » et masque sa pratique religieuse. Au restaurant, avec ses collègues, pendant le ramadan, il commande une entrée et fait mine de la manger. « Nous sommes devenus des musulmans avant tout, dit-il. J’ai grandi arabe, aujourd’hui je suis arabo-musulman, nous sommes tous devenus responsables de la violence de quelques-uns. » Il songe à émigrer dans un pays anglo-saxon.
    Pour imaginer quitter la France, il a fallu huit années « de petites et grandes agressions envers la communauté musulmane », juge-t-il. Entre 2015 et 2023, les « coups » portés « ne se comptent plus », tempête-t-il. « Le malaise et l’inquiétude ne cessent de croître au gré des discours et des débats politico-médiatiques qui cherchent constamment à construire un problème musulman », résume Hanan Ben Rhouma.
    Qu’ils soient en accord ou non avec certaines décisions institutionnelles, ils soulignent un effet d’accumulation qui nourrit leur malaise. Dans le désordre, ils listent : la percée du vocabulaire d’extrême droite dans le débat public – « grand remplacement », « séparatisme », « zones de non-France » –, l’omniprésence des discours antimusulmans dans certains médias, principalement les chaînes d’information en continu ; en 2021, la loi « séparatisme » ; la même année, la « chasse » aux « islamo-gauchistes » dans les universités ; la dissolution, en 2020, du Collectif contre l’islamophobie en France ; les polémiques à répétition sur le port du voile ou le burkini ; à la rentrée 2023, l’interdiction de l’abaya et du qamis dans les établissements scolaires ; les fermetures de mosquées ; la disparition, à leurs yeux, de la lutte contre les discriminations des « radars des politiques » ; l’interdiction par la Fédération française de football des pauses lors des matchs pour rompre le jeûne pendant le ramadan ; les attaques, en décembre 2023, contre l’établissement scolaire Averroès, le seul établissement privé musulman sous contrat de France…

    « Ça ne s’arrête jamais, nous sommes devenus le fonds de commerce des politiciens et des médias, observe Haroun, par ailleurs professeur dans une école de commerce. Je viens d’un milieu populaire de banlieue, je suis un transfuge de classe, j’ai toujours été opposé aux discours victimaires de mes copains d’enfance, convaincu que la République pouvait tout nous offrir à condition de le vouloir, mais aujourd’hui, je souscris à 100 % à leur discours. » L’adolescent qui s’entraînait à dire le mot « absolument » devant son miroir parce qu’il trouvait que ça faisait « chic et sophistiqué » ne décolère pas et encourage ses étudiants à quitter la France pour avoir « la vie et carrière qu’ils méritent ».
    « Il y a toujours une barrière, mais elle est invisible »
    A l’image de Mina, Toulousaine de 32 ans, qui craint que la pratique de sa religion ne lui nuise. La jeune femme, titulaire d’un master en informatique décisionnelle, porte le voile. Elle s’est vu refuser tant de postes, notamment dans la sphère commerciale, et donc au contact des clients, qu’elle s’est reconvertie : aujourd’hui, elle donne des cours particuliers de mathématiques. « Je me protège de beaucoup de choses dorénavant et notamment des chaînes d’information en continu que je ne regarde plus, dit-elle. Et je ne cherche plus dans la filière commerciale, même si personne n’a jamais été frontalement insultant, je sais très bien pourquoi je n’ai pas trouvé d’emploi dans ce secteur. »
    Ahmed en est lui aussi convaincu. A 52 ans, ce cadre dans l’hôtellerie de luxe de la capitale est amer. Cela fait des années qu’il observe les stagiaires qu’il a formés monter en grade et lui, stagner. « Il y a toujours une barrière, mais elle est invisible, jamais personne ne me dit que c’est parce que je suis musulman et que je fais la prière », dit-il. « Plus personne ne nous traite de “sale Arabe” comme dans les années 1970 ou 1980, abonde Youssef, personne ne nous traite de “sale musulman” non plus, ni ne nous agresse, les mécanismes à l’œuvre sont bien plus insidieux. » Même si les actes antimusulmans restent présents.
    « Ce week-end, les mosquées de Valenciennes et de Fresnes-sur-Escaut [Nord] ont fait l’objet de dégradations. Une mosquée des Vosges a aussi été prise pour cible. Je condamne fermement ces actes inacceptables contre nos compatriotes musulmans », déclarait le 30 mars sur X le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, alors qu’une enquête pour « provocation à la haine raciale » était ouverte après la découverte d’une tête de sanglier près d’une mosquée de Contrexéville (Vosges). Le service statistique de Beauvau ne communique aucun détail sur le nombre des faits enregistrés. « Tout ça relève d’une ambiance vraiment crade », commente Youssef, le fonctionnaire du Nord.
    « Le politologue Gilles Kepel parle de djihadisme d’atmosphère et ils sont nombreux à l’écouter, nous, nous parlons d’islamophobie d’atmosphère mais personne ne veut nous entendre », souffle-t-il. Mais seuls ceux qui ont les moyens peuvent aujourd’hui prendre la décision de partir, dit-il. Un choix qui le désespère : « La France est en train de perdre beaucoup de talents qu’elle a formés. »
    Louise Couvelaire

  • ichtyosaur

    https://www.zmescience.com/science/news-science/largest-marine-reptile-ichtyosaur

    For the last eight years, a team of researchers in the UK has been collecting and studying the remains of two massive jawbones dating back to 202 million years. Their new study reveals that the bones belonged to a previously unknown species of ichthyosaurs, gigantic marine reptiles that ruled the oceans while dinosaurs ruled on land.

    Plus petit que le Perucetus colossus :)

  • La marche du 21 avril contre le racisme interdite par la préfecture de police de Paris – Libération
    https://www.liberation.fr/societe/police-justice/la-marche-du-21-avril-contre-le-racisme-interdite-par-la-prefecture-de-po

    Craignant des troubles à l’ordre public et des slogans antisémites, Laurent Nuñez a interdit une marche « contre le racisme, l’islamophobie et pour la protection des enfants », soutenue par des militants antiracistes, des mouvements de gauche et des familles de victimes de violences policières.

    Lutte contre le racisme ? « Antisémitisme !!! » qu’ils s’exclament tous en chœur, à l’extrême-droite !

  • #Organic_Maps, une alternative à #google_maps :

    Organic Maps est un #logiciel_libre de #cartographie et de navigation utilisable #hors-ligne et basé les données cartographiques d’#OpenStreetMap. Il se base uniquement sur des données vectorielles pour le rendu des objets et permet un rendu 2D ou 3D temps réel. Il s’adapte au logiciel de synthèse vocale disponible du système d’exploitation sur lequel il tourne. Il est disponible pour Android et GNU/Linux et iOS. Il s’agît à l’origine d’un fork de #Maps.me, fait par ses propres développeurs.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Organic_Maps

    #offline #off-line #OSM #marche #vélo #app

  • Aliens Act 1905 - Wikipedia
    https://en.wikipedia.org/wiki/Aliens_Act_1905

    Où l’on apprend que lord Balfour, l’homme qui avait tellement envie de créer un foyer national juif en Palestine, était un gros antisémite qui avait voté quelques années plus tôt une loi infâme contre l’immigration juive...

    The Aliens Act 1905 was an Act of the Parliament of the United Kingdom of Great Britain and Ireland.[2] The Act introduced immigration controls and registration for the first time, and gave the Home Secretary overall responsibility for matters concerning immigration and nationality.[2] Those who “appeared unable to support themselves” or “likely to become a charge upon the rates” were declared “undesirable”. The Act also allowed to turn away potential immigrants on medical grounds. Asylum-seekers fleeing from religious or political persecution were supposedly exempted from the act but, nevertheless, their claims were often ignored.[3]

    While the Act was ostensibly designed to prevent paupers or criminals from entering the country and set up a mechanism to deport those who slipped through, one of its main objectives was to control Jewish immigration from Eastern Europe.[4] Jewish immigration from Eastern Europe significantly increased after 1880[5] which served as some basis for the creation of the Aliens Act 1905. Although it remained in force, the 1905 Act was effectively subsumed by the Aliens Restriction Act 1914, which introduced far more restrictive provisions. It was eventually repealed by the Aliens Restriction (Amendment) Act 1919.

    https://en.wikipedia.org/wiki/Arthur_Balfour
    Balfour, who had known Zionist leader Chaim Weizmann since 1906, opposed Russian mistreatment of Jews and increasingly supported Zionism as a programme for European Jews to settle in Palestine.[27] However, in 1905 he supported the Aliens Act 1905, one of whose main objectives was to control and restrict Jewish immigration from Eastern Europe.[28][29]

  • TikTok Lite, avec son mécanisme de récompense, inquiète Bruxelles et Paris | TV5MONDE - Informations
    https://information.tv5monde.com/economie/tiktok-lite-avec-son-mecanisme-de-recompense-inquiete-bruxelle

    Des pièces virtuelles, convertibles en carte-cadeau, contre du temps passé devant des vidéos : c’est le principe de la nouvelle application TikTok Lite, soupçonnée de stimuler les comportements de dépendance notamment chez les jeunes, désormais dans le viseur de Bruxelles et Paris.

    La Commission européenne a réclamé mercredi à TikTok de lui fournir sous 24 heures des explications sur les risques liés au déploiement de sa nouvelle appli en France et en Espagne.

    Cette demande formelle intervient dans le cadre de la nouvelle législation européenne sur les services numériques (DSA) et concerne « l’impact potentiel du nouveau programme de +récompenses+ sur la protection des mineurs et la santé mentale des utilisateurs », notamment « la stimulation potentielle du comportement addictif », a précisé la Commission.

    Lancée sans tambour ni trompette fin mars, TikTok Lite, propriété de l’entreprise chinoise ByteDance, récompense les utilisateurs avec des jetons s’ils se connectent quotidiennement pendant dix jours, s’ils passent du temps à regarder des vidéos (avec une limite de 60 à 85 min par jour) et s’ils font certaines actions, comme aimer des vidéos et suivre des créateurs de contenus.

    Ces pièces sont ensuite échangeables contre des cartes-cadeaux sur des sites partenaires, comme Amazon.

    Ce principe de « gamification », qui s’appuie sur les mécaniques du jeu, « est un phénomène de création de dépendance connu et problématique », remarque auprès de l’AFP Anne Cordier, professeure en sciences de l’information et de la communication à l’université de Lorraine, dans l’est de la France.

    Le réseau social a rappelé à plusieurs reprises que seules les personnes âgées de 18 ans ou plus pouvaient collecter des points et qu’il appliquait des procédures pour s’assurer de l’âge des utilisateurs.

    Un selfie avec une pièce d’identité, un selfie vidéo ou une autorisation de carte bancaire est ainsi nécessaire pour convertir les pièces en bons d’achat, a indiqué TikTok à l’AFP.
    « Hypocrisie »

    Mais l’entreprise peine à convaincre.

    « C’est le top de l’hypocrisie », pour Anne Cordier. « Ils savent pertinemment que le contournement sera possible ».

    « L’âge est très compliqué à vérifier. On peut toujours prendre la carte bancaire de ses parents », abonde Maria Mercanti-Guérin, maître de conférence en marketing digital à l’Institut d’administration des entreprises de Paris.

    La secrétaire d’Etat française chargée du Numérique, Marina Ferrari, a estimé mercredi que la demande d’information de la Commission européenne « allait dans le bon sens ». Elle avait fait part de « son inquiétude » dès le lancement de TikTok Lite.

    Ses services étudient « avec la plus grande attention les mécanismes de l’interface » qualifiés « de dérive contestable » au moment où la France a entamé « une réflexion sur le +temps d’écran+ », en particulier chez les jeunes utilisateurs, a-t-elle déclaré.

    Avec ses clips vidéo souvent dansants ou musicaux, TikTok, qui a séduit plus de 1,5 milliard d’utilisateurs dans le monde, est accusé depuis plusieurs années aux Etats-Unis et en Europe d’accaparer l’attention des jeunes.

    Le réseau social, qui a assuré à l’AFP être en contact direct avec Bruxelles au sujet de TikTok Lite et avoir l’intention de fournir une réponse, était déjà sous le coup d’une enquête de la Commission, ouverte en février, pour manquements présumés en matière de protection des mineurs dans le cadre du DSA.

    De quoi interroger le calendrier de ce lancement, qui apparaît presque comme une « provocation », pour Maria Mercanti-Guérin.

    – Engagement -

    TikTok cherche surtout à attirer de nouvelles personnes et lutter contre la stagnation de la croissance des utilisateurs en Europe, selon le média américain The Information, qui a eu accès à un document interne à l’entreprise.

    En Europe, l’application n’est présente que sur 13% des appareils Android, contre 37% pour Instagram et 59% pour Facebook, selon la même source.

    « Un réseau social qui ne croît pas meurt », résume Maria Mercanti-Guérin.

    A travers les récompenses, il s’agit aussi d’améliorer l’engagement des utilisateurs, nerf de la guerre dans ce type d’industrie.

    C’est « leur crédibilité publicitaire qui est en jeu, parce que les marques n’investissent pas sur des réseaux qui ont des faibles taux d’engagement », souligne Mme Mercanti-Guérin.

    « TikTok Lite va augmenter de façon presque artificielle cet engagement », note-t-elle, précisant que le réseau social réalise déjà de bonnes performances dans ce domaine.

    Or le taux d’engagement baisse tendanciellement pour les réseaux sociaux, selon la spécialiste. Très fort au début, il finit par stagner.

    #dealers #Econimie_attention #Tabac

  • se dit que finalement la seule chose qui la différencie réellement des complotistes, c’est qu’elle sait bien que l’humanité est beaucoup trop bête et orgueilleuse pour comploter quoi que ce soit : pour conspirer il faut être plusieurs, ce qui est impossible dans un monde capitaliste où tout·e un·e chacun·e n’a de cesse qu’iel ait tiré toute la couverture à ellui.

    Dommage, parce que c’était vraiment tentant de se mettre à soupçonner les satanistes illuminatis francs-maçons islamo-gauchistes judéo-droitistes LGBTQQIP2SAA++.

    • Qu’est-ce que j’avais dit, déjà, jadis, pour amuser le Lectorat ? Ah voilà, le Service des Archives de la Dictatature du Punkàchiennariat vient de retrouver la citation : « Les complotistes c’est comme Vladimir Vladimirovitch : les bonnes méthodes au service des mauvaises causes ».

  • Des soldats israéliens ont séparé une grand-mère de Gaza de sa famille. Sa mort va hanter ses descendants
    16 avril 2024 | Amira Hass | Haaretz | Traduction SF pour l’AURDIP

    Les soldats israéliens ont-ils tiré sur cette grand-mère de Gaza ? Est-elle morte de faim ou de soif, clouée au lit, complètement seule ? A-t-elle suffoqué dans la fumée ou a-t-elle été brûlée à mort ?
    https://aurdip.org/des-soldats-israeliens-ont-separe-une-grand-mere-de-gaza-de-sa-famille-sa-mo

    Les soldats qui, le 21 mars, vers 11h du matin, ont fait irruption dans un immeuble de la rue Abdul Aziz à Gaza, ont-ils des grands-mères ? Ces grand-mères peuvent être pleines d’énergie et de dynamisme ou elles peuvent être sur le déclin. Elles peuvent être natives d’Israël ou être des immigrantes. Elles peuvent parler hébreu avec ou sans accent. Ce qui est certain c’est qu’elles se soucient de leurs petits fils, qu’elles les ont embrassés et pris dans les bras après qu’ils ont quitté Gaza et préparé leurs plats favoris pour le repas du vendredi soir. Elles ne pensent certainement pas à leurs petits fils comme à des gens cruels.

    Cruauté : le fait de causer de la souffrance à d’autres par plaisir ou par indifférence.

    Les soldats n’ont certainement pas parlé à leurs grand-mères de cette vieille femme, une grand-mère d’autres enfants, qui se trouvait dans la maison qu’ils ont envahie lors de la prise et de la destruction finales de l’hôpital Shifa, pendant les échanges de tirs avec des combattants du Hamas qui y étaient encore. Les grand-mères juives se demandent-elles ce que leurs petits-fils ont fait à Gaza ou se contentent-elles de l’idée que ce sont des héros ?

    Indifférence : un manque d’intérêt. Une ignorance délibérée ou instinctive de la souffrance des autres. Un mécanisme d’autodéfense contre un savoir qui gâchera la bonne impression que nous avons de nous-mêmes. (...)

  • DDR-Forschung: „Ich habe diese Erfahrung mit Ignoranz schon vor 30 Jahren gemacht“
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/ddr-forschung-ich-habe-diese-erfahrung-mit-ignoranz-schon-vor-30-ja

    16. - 4.2024 von Heinz Niemann - Unser Autor hat sich intensiv mit der Meinungsforschung in der DDR beschäftigt. Er plädiert für mehr Streit auf Augenhöhe mit Historikern aus der DDR.

    In der Wochenendausgabe der Berliner Zeitung vom 6./7. April ist die erste Kolumne von Katja Hoyer mit der Überschrift versehen: Eine offene Debatte ist nötig – nicht nur über die DDR. Ihr Bestseller „Diesseits der Mauer. Eine neue Geschichte der DDR“ hatte so widersprüchliche Resonanz erfahren, dass sie sich dringend einen anderen Umgang bei Streitthemen wünscht.

    Das wäre mehr als nur wünschenswert, denn seit dem Anschluss der DDR hat es eine offene Debatte bisher nicht, zumindest nicht unter Beteiligung von einst in der DDR bekannten Wissenschaftlern gegeben.

    Die Urteile über den untergegangenen Staat standen rasch fest: Die zweite deutsche Diktatur, ein Unrechtsstaat. Die umfängliche Arbeit der 1992 vom 12. Deutschen Bundestag beschlossenen Enquete-Kommission legte schon mit der Überschrift am Anfang fest, was herauskommen sollte: „Überwindung der Folgen der SED-Diktatur“. Den umfänglichen Ergebnisses ihrer mehrjährigen Arbeit folgte inzwischen eine ähnlich unübersehbaren Fülle an Büchern von fast ausschließlich alt-bundesdeutschen Historikern – nach soliden Schätzungen deutlich über 7000 – sowie zahlreiche Erinnerungen und Zeitzeugenberichte meist von Menschen, die wann, wie und warum auch immer, in Konflikt mit der DDR-Obrigkeit gerieten und zum Teil schmerzlichen Repressionen und Benachteiligungen ausgesetzt waren.

    Wer sich mit differenzierten oder gar teils positiven Urteilen in diese Forschungsarbeit einmischte, fand sich rasch an der Seite oder als Verteidiger der schlimmen „Täter mit gutem Gewissen“ wieder. Das waren keine guten Bedingungen für einen Dialog, da scheinen Erinnerungen an einstige deutsch-deutsche Historikertreffen in West und Ost in den 80er-Jahren wie von einem anderen Stern.

    Nun gibt es deutliche Unterschiede zwischen offener und öffentlicher Debatte. Katja Hoyer meint, sie hätte ihr Buch in Deutschland wohl gar nicht schreiben können. Nun schreiben wohl, aber ob sich ein renommierter Verlag gefunden hätte, ist tatsächlich fraglich. Der Erfolg des Buches in England hat ihr wahrscheinlich diese Tür bei einem deutschen Verlag geöffnet. Nicht nur meine persönlichen Erfahrungen besagen, dass vom Mainstream abweichende Publikationen bisher kaum eine Chance hatten.

    Der Historiker Dr. Friethjoff Sielaff, bei der Diskussionsveranstaltung der Historiker der Humboldt-Universität zu Fragen der SED Vergangenheit, 1990. Rolf Zöllner/imago

    Dabei gab und noch gibt es einige wenige aktive Spezialisten für DDR-Geschichte aus dem Osten, die mit einem nicht ganz kleinen Publikum seit 1990 eine sehr selbstkritische offene Debatte geführt haben, die sich auch in ein paar Dutzend Veröffentlichungen wiederfindet, die – von kleinsten Verlagen mit Druckkostenzuschüssen der Verfasser publiziert – als faktisch „graue Literatur“ vorliegen. Von der scientific society ignoriert blieben sie in der Öffentlichkeit fast völlig unbekannt. So verwundert es nicht, dass selbst in den Büchern von Dirk Oschmann und Katja Hoyer im Literaturverzeichnis kein einziger Titel von (international durchaus anerkannten) DDR-Spezialisten wie z.B. Siegfried Prokop, Günter Benser, Rolf Badstübner, Manfred Kossok, Kurt Pätzold, Harald Neubert, Walter Friedrich, Monika Kaiser, Mario Keßler, Detlef Nakath, Jörg Roesler, Alfred Kosing u.a. erscheint.

    DDR-Spezialisten: Ignoriert und totgeschwiegen

    Ich habe diese Erfahrung mit Ignoranz dagegen schon vor 30 Jahren gemacht, als mein Buch „Meinungsforschung in der DDR“ 1993 im Kölner Bund-Verlag in beachtlicher Auflagenhöhe erschien. Obwohl beim Verlag rund 100 Rezensionsexemplare angefordert wurden, gab es zu meiner Überraschung keine einzige Besprechung in einer Fachzeitschrift mit direktem Bezug auf das Buch, weder eine Polemik noch theoretische Kritik an den Methoden erfolgte. Das mir vom Verlag seinerzeit signalisierte große Interesse der Medien, darunter dritte Regionalsender wie der NDR, der Hessische Rundfunk und einflussreiche Magazine wie das Deutschland Archiv und der Spiegel, erlosch sehr rasch.

    Alexanderplatz, Menschen warten auf die S-Bahn, Dezember 1986 Christian Thiel/imago

    Ein ausbleibender Verriss kann auch ein Qualitätsmerkmal bedeuten. Nur in den USA wurde es von Anne Constabile-Heming, Professorin an der Pennsylvania State University sachlich und informativ vorgestellt und gewürdigt, „dass sich die Mehrheit der DDR-Bürger mit dem sozialistischen System und dem Status quo abgefunden hat“. Hier im Lande war mein Buch durch Ignoranz und Totschweigen Opfer einer Art von Zensur geworden. Was war geschehen?

    Ich erfuhr vertraulich, dass bei der Verlagsleitung Briefe von Professoren eingegangen waren, die heftig dagegen protestierten, dieses Buch weiter zu bewerben und zu verkaufen. Mit Bedauern und höflich verklausuliert, teilte mir die Redakteurin mit, es habe gegen gewisse Wertungen Einspruch gegeben. Ich ahnte, worum es sich handeln dürfte, hatte ich mich doch am Schluss des Unterkapitels „Die DDR am Ende der Ulbricht-Ära im Spiegel der Meinungsforschung“ erdreistet festzustellen:

    „Wie auch immer die rein rechnerische Bilanz der Ulbricht-Ära in den Statistiken der Fachleute ausfallen mag, die Ergebnisse der Meinungsforschung bestätigen, dass die Entwicklung in den 60er-Jahren bei einer Mehrheit der DDR-Bevölkerung zu einer mentalen Akzeptanz des Systems und des deutsch-deutschen Status quo geführt hatte. Die DDR war nicht mehr nur von einer aktiven Minderheit ‚angenommen‘, die SED erfüllte das Minimalkriterium jeglicher Legitimität: Die Mehrheit des Volkes anerkannte die gesellschaftlichen Verhältnisse, unter denen die SED den politischen (und ideologischen) Anspruch auf das Recht zur Führung von Staat und Gesellschaft erhob (…). Die bestehende Ordnung wurde in diesem Zeitraum zumindest – um mit Habermas zu sprechen – alles in allem für ‚anerkennungswürdig‘ befunden, da sie perspektivisch die Verwirklichung ihrer konstitutiven Ideen versprach.“

    Teilnehmer aus DDR und Sowjetunion bei dem XIII. Internationalen Kongress für Geschichtswissenschaften in Moskau, 1970 Valentin Kuzmin/imago

    Das beruhte auf validen Daten aus im Buch dokumentierten Umfrageberichten. Der Verlag sah sich jedoch veranlasst, Werbung und Verkauf des Buches einzustellen. Man teilte mir mit, der Rest werde „geschreddert“, ich könnte aber zum halben Preis von 15,- DM noch Exemplare ordern. Nicht nur die SED hielt also die Ergebnisse solider Meinungsforschung geheim, das gelang auch anderen.
    Die Frage nach der historisch-politischen Legitimität der DDR

    Den Vogel schießen zwei Spezialisten für Umfrageforschung noch fast 25 Jahre später ab: Everhard Holtmann, jahrelang Sprecher des DFG-Sonderforschungbereichs „Gesellschaftliche Entwicklungen nach dem Systembruch“ der Universitäten Jena und Halle und emeritierter Professor und Forschungsdirektor am Zentrum für Sozialforschung Halle, sowie die Kommunikations- und Politikforscherin Dr. Anne Köhler, die als geschäftsführende Gesellschafterin das DDR-Forschungsprojekt zur Umfrageforschung bei der Bevölkerung der DDR zwischen 1968 und 1989 leitete. Beide gehen – kaum glaubhaft aus Unkenntnis – an meinem ersten genannten Buch aus dem Jahr 1993 und auch meinem zweiten Buch zur Politischen Kultur und Meinungsforschung in der DDR von 1995 vorbei. Ausdrücklich bedauern sie: „Exakte Daten (…) liegen nicht vor. Solche Daten sind nicht etwa, wie zahlreiche Aktenbestände der Staatssicherheit, in der Endzeit der DDR gezielt vernichtet worden. Sie wurden vielmehr im Land selbst zu keiner Zeit erhoben.“

    Walter Ulbricht nimmt anlässlich seines Geburtstages Glückwünsche entgegen.

    Es wird sicherlich auch in weiterer Zukunft noch Differenzen und Streit um die Beurteilung verschiedener Tatbestände und Prozesse zwischen den Fachleuten und politischen Kombattanten, wie im öffentlichen gesellschaftlichen Diskurs der nachfolgenden Generation geben. Wenn der Streit tolerant und auf Augenhöhe erfolgen soll, müssten schon die differenzierenden Forschungsergebnisse der mit „Gnadenlosigkeit ausgetauschten“ Historiker-Elite – so Oschmann – zur Kenntnis genommen werden. Es würde rasch klar werden, dass eine vorausgehende Festlegung auf die Charakterisierung der DDR als zweite Diktatur und Unrechtsstaat, wie ihn auch Oschmann „fraglos“ sieht, jeder Debatte Grenzen setzt. Und diese Grenze wird durch die jeweilige Antwort auf die Frage nach der historisch-politischen Legitimität der DDR als einer von zwei politisch-moralisch gerechtfertigten Alternativen nach Nazifaschismus und Weltkrieg markiert sein. Davon hängt auch ab, ob und wie die Geschichte der DDR als Teil der gesamtdeutschen Nationalgeschichte begriffen und akzeptiert werden kann.

    Heinz Niemann, geboren 1936, ist Historiker und Politikwissenschaftler. Er lehrte als Professor in Leipzig und Berlin und hat mehrere Bücher veröffentlicht, speziell zur Parteiengeschichte der SPD, SAPD, SED, PDS-Linkspartei.

    #DDR

  • Obsolescence programmée des voitures : l’association HOP réclame l’instauration d’un « indice de réparabilité »
    https://www.huffingtonpost.fr/environnement/article/obsolescence-programmee-des-voitures-l-association-hop-reclame-l-inst
    Dans le viseur les véhicules électriques

    « La moitié des constructeurs seulement proposent des batteries réparables, une information qui passe sous les radars des consommateurs. Aujourd’hui, si une batterie dysfonctionne ou est endommagée par un accident, rien n’assure l’automobiliste de la disponibilité de la batterie, ni de pouvoir la réparer ou la remplacer par une neuve ou reconditionnée. Il pourrait donc être contraint de remplacer la voiture entière ! », indique HOP.

    L’association dénonce aussi la production de nouveaux modèles en usine au moyen de très grandes pièces moulées au lieu d’un assemblage de dizaines de tôles. Source d’économies et de légèreté pour les constructeurs, ces éléments peuvent se transformer en cauchemar d’assureur et d’assuré. « Au moindre choc, il faudra remplacer une partie si importante de la voiture qu’il sera probablement plus rentable de la mettre à la casse en cas de choc », craint l’association.

  • Ces Françaises et Français de confession musulmane « bien installés » qui songent de plus en plus à émigrer
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/04/18/francais-de-confession-musulmane-la-tentation-du-depart_6228469_3224.html

    A leurs yeux, 2015 marque le début de la suspicion permanente « de la part des pouvoirs publics, au travail, dans certains cercles amicaux », décrit Ismail ; des injonctions à « s’exprimer contre, être contre », raconte Hanan Ben Rhouma, de Saphirnews ; « condamner dans la seconde haut et fort les attentats, les messages de haine sur les réseaux, le voile, l’Iran, le Hamas ou que sais-je encore », énumère Haroun, le banquier de Bordeaux ; et des justifications incessantes. Samir n’en revient pas : « J’ai été contraint de montrer à des gens des photos de ma femme en maillot de bain à la plage et de ma fille en train de faire de la gymnastique pour prouver que je n’étais pas un intégriste. Vous n’imaginez pas ce que c’est humiliant. »

    « Il y a une accélération des départs depuis 2015 avec une montée du sentiment de stigmatisation post-attentats, confirme le sociologue Julien Talpin. De nombreuses personnes avec qui nous avons échangé, plus de 70 %, évoquent des expériences de discriminations directes mais beaucoup parlent d’une atmosphère, d’une ambiance dégradée qui fait peser sur eux une pression permanente qui les pousse à faire attention à tout ce qu’ils font, ce qu’ils disent… »

    #musulmans #Arabes #racisme #exil #émigration

    • Samir a 39 ans, un master de sociologie en poche et quinze années de bons et loyaux services dans la fonction publique territoriale, dans le Nord. « J’y croyais à la réussite républicaine, martèle-t-il. J’avais tort, quoi que je fasse, ça n’est jamais assez. Mon nom est sorti dans la presse dans une affaire absurde de soupçons d’“entrisme communautaire” : quand on vit dans les banlieues, les gens pensent qu’on ne fait que foutre le bordel, et quand on en sort, on est suspecté de vouloir “infiltrer” la République. »

  • Dissection indiscrète des “Intouchables”
    https://www.dedefensa.org/article/dissection-indiscrete-des-intouchables

    Dissection indiscrète des “Intouchables”

    • L’opération iranienne contre Israël disséquée au scalpel : préparation, coordination, intervention, but des Iraniens. • Le résultat est habituel à ces derniers-temps : le suprémacisme de l’Ouest traîne un peu la patte : il faudra consulter.

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    Voici un texte extrêmement technique sur les conditions techniques et opérationnelles de l’attaque iranienne sur Israël. Une fois de plus, – une habitude désormais pour des pays rangés pendant des décennies comme technologiquement sous-développés, – on observe une extrême sophistication de programmation et de coordination des différents systèmes, moyens et procédures utilisés. L’attaque a été construite, structurée et s’est déroulée selon une dynamique extrêmement précise. Les résultats (...)