« Melting Mind started his activities in 2010 in Ariano nel Polesine (italy) as a sonic alliance between Michele Mazzani (dona ferentes, stossavia), Virginia Genta and David Vanzan (jooklo duo), at first mostly dedicated to 100 % free impro while boarding and saving cassettes and other amenities from trash and the total and regressive annihilation of the consumer’s society…
In the following years the project gradually developed as an impro free collective, welcoming among its ranks other more or less stable components (Matteo Poggi, Gabriele Gotini) and a large group of sympathizers and « alumni » (Werner Notzel, Riccardo Poli, Ernesto Gonzalez etc..).
From time to time the sound changes, evolves, reaches a slow maturation from a more primitive, abstract and spurious form to a more refined, considered and meticulous one; from the most apocalyptic noise to the most imperceptible microtone, the research continues in a kaleidoscope of ever-renewed sensations and approaches. »
personnel :
Virginia Genta :: Sax, clarinet, effects
Matteo Poggi :: Nagra , synths, effects
David Vanzan .:: Radio, pedals, circuits
Michele Mazzani :: Synths, loops, guitar
you can visit our website / blogs and listen to some music on youtube (live)
c’est une musique assez minimaliste dans le vocabulaire et intense dans son énergie. Les trois musicien·ne·s jouent du même instrument: le tapan, une percussion bulgare à seulement deux sons de peaux et des percussions métalliques (gong, plaque de bronze). L’ intérêt musical du groupe est de rechercher à développer une idée en ayant une palette sonore très limitée, la construction musicale dépend alors d’avantage du placement dans le temps et de l’imbrication des trois instruments. Le set est en deux parties qui sont liées et comportent des sections très fixes, et d’autres totalement improvisées. Le commencement est une longue progression sur un rythme traditionnel bulgare en sept temps, qui, à travers des décalages successifs d’un tapan sur l’autre, laisse apparaître des polyrythmies de plus en plus complexes. La répétition transcendante du cycle fait également naître des variations de timbres, rythmes et couleurs qui, en fonction de l’espace, peuvent être très variables. Cette longue ascension éclate quand l’unisson revient, même furtivement, semblant alors soulager la tension qui surgit de nouveau avec l’apparition du timbre métallique, apporté par le gong, puissant, rond et grinçant faisant place à une longue improvisation à deux tapan et gong tout autant mécanique que saccadée et bruitiste.
Galerie Magasin Sonore/103 grande rue 25000 besançon
DUO /////////. MARIOGABOLA/IANO U-CELLO
JEUDI 28 MARS 2024
à ExNihilo/20H
Galerie Magasin Sonore/103 grande rue 25000 besançon
DUO /////////. MARIOGABOLA/IANO U-CELLO
MARIO GABOLA-Acoustic amplified feedback altosax
Playing between the United States, Europe, and Russia he is active indipendent concert organiser and collaborates with different musicians: Chris Cogburn, Andy Guhl, 70fps, C_C, Dave Phillips, Evil Moisture, Dj-DieSoon, Utku Tavil(Multiversal), Valerio Tricoli, CompanyFuck (S.Sinclair), Venta Protesix, Abstral Compost, Dj-2phast, Will Guthrie, Andrea Pensado, Burst, Robbie Avenaim, Sean Baxter, Olivier De Placido, Mat Pogo, MOE, Joakim Heibo, Alexei Borisov, Olga Nosova, Andrzej Zaleski, Bassheaters, Mario De Vega, Seppo Renvall, Guy Sherwin & Lynn Loo, Jack Wright, Andrzej Zaleski, Katsura Yamauchi, Ignaz Schick, Fabrizio Spera, Taxonomy, Roberto Bellatalla, J.A.Velez, Violeta Garcia,Nadia Dou, Paed Conca, Camila Nebbia, Anna Gaiotti X Jean Bender, Chiara Orefice, S.Costanzo, N.Hoppas(Ex OdioSys), Jooklo Duo, Virginia Genta, Luciana Rizzo, Ken Vandermark, Christof Kurzmann, Extrema Ratio, Loup Uberto, Begayer and many others…
Iano U.cello is a character who chooses to use the malevolence (or « malwareness ») of the cities’ contingencies and turn them into an exorcism sound performance. The places of the bodies, of the performer, the instrument as well as the participants are central, materialised by a feed back system of little speakers manipulated on, in and by the bodies. Signals become the medium. Each second of their life, XXIst humans bodies are crossed by energetic waves : electric, electromagnetic, nuclear, or solar ones … Most of them are produced by human history, nothing is original-natural in this production, our bodies have to deal with that without any ressources and no clue on how to manage and control it. Without any information or education, we live in an invisible world that slowly induced new reactionS and behaviourS. My performances are a try to exorcise all of this.
En Partenariat avec le FRAC Franche-comté qui nous accueille /
Une proposition de L’Atelier de l’étoile (Association Tonie Sonie) en partenariat avec le FRAC Franche-Comté
Sam.10 fév. 2024 | 20h FRAC Franche-Comté Hall | Cité des arts
2, passage des arts | 25000 Besançon Réservation : 06 75 23 50 06
CHUCHCHEPATI ORCHESTRA – DER MAKROGRAPH (CH/Autriche) Concert installation pour plusieurs hauts-parleurs faits maison DIY, tourne-disque xxl, vinyl et contrebasse préparée. Patrick Kessler : contrebasse préparée Dieb13 : tourne-disque xxl
« Tandis qu’une aiguille glisse dans le sillon d’une platine vinyle classique et traduit les vibrations en tonalités audibles, un faisceau laser balaie la surface du support sonore dans la macrographie. Les données numériques ainsi obtenues constituent le matériau source de la composition. Le principe de base de la macrographie est la traduction de la forme en musique. Pour le processus de composition, cela signifie que la « traduction » des données en musique peut être déterminée selon des paramètres librement définissables et que même des topologies non musicales peuvent être traduites en résultats musicaux intéressants.Le makrographe est conçu comme un projet à long terme : différents volumes seront publiés un à un. »
DIEB13 Platiniste incontournable de la scène expérimentale viennoise/autrichienne et mondiale depuis plus d’une quinzaine hautement recherché que ce soit au sein de collaborations diverses ou en tant que performer solo lors de festivals tournant autour de la manipulation platinistique, le viennois DIEB13 déverse, à partir de 3 tournes-disques manipulés, d’intense, fortes, abrasives et englobantes couches sonores, faite de jonglage de parasites, aspérités, dérapages contrôlés, collage, et confrontation pour un résultat souvent époustouflant par sa forte physicalité. Un absorbant voyage sonore hors des sentiers battus et ambient-noise de grande qualité par l’un des plus proéminents et plus respectés platinistes expérimental mondial actuel.
Patrick Kessler Contrebassiste, compositeur, curator. Avec sa contrebasse, Patrick Kessler travaille à l’intersection de l’art performatif et de l’improvisation, entre l’installation et la composition – élargissant souvent son vocabulaire artistique par des éléments électroniques, des collages sonores analogiques expérimentaux et des moyens visuels.
En Partenariat avec le FRAC Franche-comté qui nous accueille /
Une proposition de L’Atelier de l’étoile (Association Tonie Sonie) en partenariat avec le FRAC Franche-Comté
Sam.10 fév. 2024 | 20h FRAC Franche-Comté Hall | Cité des arts
2, passage des arts | 25000 Besançon Réservation : 06 75 23 50 06
CHUCHCHEPATI ORCHESTRA – DER MAKROGRAPH (CH/Autriche) Concert installation pour plusieurs hauts-parleurs faits maison DIY, tourne-disque xxl, vinyl et contrebasse préparée. Patrick Kessler : contrebasse préparée Dieb13 : tourne-disque xxl
« Tandis qu’une aiguille glisse dans le sillon d’une platine vinyle classique et traduit les vibrations en tonalités audibles, un faisceau laser balaie la surface du support sonore dans la macrographie. Les données numériques ainsi obtenues constituent le matériau source de la composition. Le principe de base de la macrographie est la traduction de la forme en musique. Pour le processus de composition, cela signifie que la « traduction » des données en musique peut être déterminée selon des paramètres librement définissables et que même des topologies non musicales peuvent être traduites en résultats musicaux intéressants.Le makrographe est conçu comme un projet à long terme : différents volumes seront publiés un à un. »
DIEB13 Platiniste incontournable de la scène expérimentale viennoise/autrichienne et mondiale depuis plus d’une quinzaine hautement recherché que ce soit au sein de collaborations diverses ou en tant que performer solo lors de festivals tournant autour de la manipulation platinistique, le viennois DIEB13 déverse, à partir de 3 tournes-disques manipulés, d’intense, fortes, abrasives et englobantes couches sonores, faite de jonglage de parasites, aspérités, dérapages contrôlés, collage, et confrontation pour un résultat souvent époustouflant par sa forte physicalité. Un absorbant voyage sonore hors des sentiers battus et ambient-noise de grande qualité par l’un des plus proéminents et plus respectés platinistes expérimental mondial actuel.
Patrick Kessler Contrebassiste, compositeur, curator. Avec sa contrebasse, Patrick Kessler travaille à l’intersection de l’art performatif et de l’improvisation, entre l’installation et la composition – élargissant souvent son vocabulaire artistique par des éléments électroniques, des collages sonores analogiques expérimentaux et des moyens visuels.
Duo à base de cordes, poésie sonore, voix, objets, effets, électroacoustique…a venir voir absolument ! Delphine Dora et Anaïs Tuerlincx tracent chacune à leur manière, une voie singulière, à travers leur usage personnel qu’elles ont chacune du piano. Anaïs Tuerlincx a une approche sculpturale et physique du son, nourrissant depuis quelques années un intérêt fort pour la musique bruitiste et réductionniste à travers son exploration du hors-champ du piano (travail sur le cadre et les cordes). Ses performances sont caractérisées par un son bruitiste, portées par la matérialité, mais en même temps aéré et spacieux. Delphine Dora quant à elle, a une approche intuitive de la musique pour instruments à clavier (piano, orgue…), ayant exploré différentes approches créant un univers musical élargi avec des influences allant de la musique folk, la musique improvisée, la musique ancienne, la musique expérimentale, la musique concrète… Le travail de la voix est également une constante dans son travail et dans la plupart de ses projets, une passion pour la mélodie et le chant. Sa musique inclassable et intuitive est une sorte de pont entre l’improvisation et la composition, le présent et les temps archaïques, la poésie et l’indicible, la physicalité du son et la spiritualité. Sa pratique musicale est ouverte au hasard, à l’altérité, aux collaborations.
Delphine Dora et Anaïs Tuerlinckx, deux pianistes singulières collaborent ici en abandonnant leur instrument de prédilection, pour perturber la musique de l’autre de l’intérieur en construisant un espace sonore radical aux confins de la musique improvisée, bruitiste et électroacoustique et de la poésie sonore. Delphine Dora utilise ici boucles, multipistes, effets divers pour augmenter et distordre sa voix et créer un effet désorientant et hypnotique tandis qu’Anaïs Tuerlinckx produit des clusters et sonorités bruitistes, attaques, résonances avec sa boîte à cordes. Cette recherche se nourrit de leur intérêt partagé pour la physicalité du son, une approche abstraite de la musique mais aussi sur leur contraste de leur approche. La musique du duo principalement improvisée, privilégiant une approche spontanée prend pour appui le jeu sur la dialectique entre l’exploration de zones de friction entre bruitisme et abstraction, mais aussi le goût pour les textures sonores, la frontière entre la musicalité des mots et la glossolalie, la matérialité et les « fragments » de mélodies qui se télescopent et se contaminent. Une recherche subtile autour de la matérialité du son et sa transformation, de la gestuelle, des sons musicaux et extra-musicaux, jeu sur le réductionnisme, dépouillement de jeu, allié à un travail hypnotique autour de la voix et champs de conscience altéré.
Musicien ayant évolué dans le milieu noise depuis le début des années 2000 (la race, Judas Donneger, Klaus Legal…), Pavel explore désormais certaines limites du langage de la guitare. Après plusieurs mois de concerts sous formes improvisées, il décide de mettre en forme les sons découverts via des morceaux. Ceux-ci s’articulent principalement autour des phénomènes de masse,de répétition, de ruptures et de silences, notamment grâce à l’utilisation de deux « voix » produites par l’instrument. Échos, réponses, déformations d’un message unique. Une manière de rester sur la limite entre mélodie et bruit, organisation et chaos. En ces propositions, on peut reconnaître l’influence de Xenakis,de Romitelli, tout autant que celle du Nagauta japonais.
L’instrument acoustique est étendu par des mini hauts-parleurs, des micros et des ressorts accrochés à même sa surface pour le transformer en caisse de résonance ou le faire rentrer en vibration. Ses cordes deviennent des supports pour faire défiler la bande magnétique. Objet diaphane, il reflète le son comme un miroir déformant.
A force d’inlassables séries de concerts, France Sauvage affine un son toujours plus acéré et un certain rock noise aisé dans l’improvisation. Menée par trois boulimiques sonores, la musique de France Sauvage se diversifie et s’auto-alimente de musique concrète, punk, indus, free jazz, musique de film, pour atteindre finalement des formes inédites et en faire un groupe à part dans le paysage expérimental de notre cher pays.
A l’oeuvre chez Insiden, officiant aussi dans un engin nommé Balladur – tenant d’une jambe sur le shoegaze et de l’autre sur la coldwave – et réputé pour glacer l’échine du peuple en tant que Somaticae, Amédée De Murcia est un digne représentant de ce que l’on appellerait la France d’en baffe. Cette électronique d’ici, et pas d’ailleurs, qui sonne son auditeur après écoute.
Terreur nocturne issue de Villeurbanne, fidèle à la maison de confiance In Paradisum (fondée par Mondkopf et Guillaume Heuguet, où l’on trouve parmi ce que la France produit de plus riche, complexe et brutal : Mondkopf, Low Jack, Qoso, Insiden), Somaticae est de ceux à planter un fier drapeau tricolore dans la géographie dark ambient. Lui, comme son label, sont des paysagistes de la techno, la mélancolie et la colère dans le sécateur, des parents romantiques du genre. 2013 voyait Somaticae sortir Catharsis, un de ces traits d’union entre l’électronique et la musique extrême et surtout un premier LP qui ne vole pas son titre et exorcise, purge, tout ce qui peut ronger son auteur. On y croisait la frousse de The Haxan Cloak, l’ère glaciaire de Ben Frost ou encore la finition au marteau brise-glace d’un Emptyset.
Un premier long projet de sound design (ou soundscapes, les deux s’emploieraient ici) qui ressemblait presque à une parenthèse puisque Somaticae revient à la techno musculeuse et carnassière sur Pacurgis. De projets en projets, Somaticae raccourcit l’échelle de Richter, puisqu’il est ici bien plus bruitiste, tranchant, aveuglant et brulant que sur ses précédents travaux. Ce Pacurgis laisse couler la lave, fonctionne par éruption, convoque une techno qui gargouille et éructe, rugueuse, rongée par la bile, en somme, un EP qui raconte vos pires maux d’estomac.
Jérôme Noetingera suivi les cours de musique électroacoustique sous la direction de Xavier Garcia de 1986 à 1988 à Fontaine (38). Il est l’un des membres fondateurs (avec les cinéastes Christophe Auger et Xavier Quérel) de la cellule d’Intervention Metamkine. Trio de musique improvisée avec Lionel Marchetti et Mathieu Werchowski. Il a aussi joué avec Nachtluft, Voice Crack, Tom Cora, Michel Doneda, Lê Quan Ninh, Martine Altenburger, Emmanuel Petit (au sein de la cellule) et (seul) avec Marc Pichelin, jean Pallandre, Dominique Répécaud, Peter Hollinger, Keith Rowe (MIMEO)… Il dirige le label de musique concrète METAMKINE et s’occupe d’un catalogue de vente par correspondance spécialisé dans les musiques électroacoustiques et improvisées. Membre du comité de rédaction du magazine trimestriel Revue & Corrigée. Membre de l’équipe du 102 à Grenoble de 1989 à 1998 (programmation de concerts et de cinéma expérimental).
Benoit KILIAN
//// Grosse caisse de 36 – Objets ////
Benoit Kilian,joue de la batterie depuis un concert à l’ouest de la Grosne, chez feu Jacky Barbier…. qui ne voulais pas de son merdier(set de percus plus grosse caisse pourrie de l’époque) sur sa petite scène !! Merci Jacky !
Le son, la matière sonore ne cesse de l’attirer, et c’est ainsi que l’improvisation s’impose comme l’évidence de sa pratique.
Et voilà pourquoi, survient l’idée d’électrifier un BERIMBAU, puis d’en fabriquer un en buis….. ce sera BrmB, joué dans GHOTUL, et parfois en solo.
Plus de codes, plus de place déterminée, ni accompagnateur, ni soliste, ni leader, ni exécutant, juste de l’Utopie Fraternelle et du spirit.
Il se retrouve pleinement dans la création et la vie du collectif GEX , c’est bon pour les nouvelles expériences !
Il collabore ainsi avec Laborintus, créé des unions durables, joue avec Jean-Luc Petit, Jérôme Noetinger, Benjamin Duboc, Jean Marc Foussat (Marteau Rouge …) monte NÜK, NÜK ELEKTRIK, KOD B, et se lance pour 2014 dans un projet ambitieux et passionnant autour de H.D.Thoreau : L’ARPENTEUR.
Plus récemment, le solo, sur une grosse caisse de 36 » : GCH36
le 08 juin à ExNihilo, 103 grande rue
KARIMA WALKER
Karima Walker is an experimental musician from Tucson, Arizona. Interweaving drone, field recordings, tape loops and traditional song structures she creates large, paced arrangements that provide a horizon for her minimal, ambient songwriting.
Equal parts gorgeous and abrasive, comforting and confounding, Walker builds abstract song-collages from disparate sonic components, isolating and harmonizing a wild array of instruments and textures across interwoven tracks. Hands in Our Names, (Orindal Records, Julie Byrne, Advance Base) is dizzyingly abstract at moments, but taken as a whole, the album moves like a half-remembered travelogue, with Walker’s understated, measured and beautiful singing voice acting as a compassionate tour guide through a wrecked landscape.
« Hands in Our Names sees Karima Walker reconstruct an array of varied elements into something larger and more meaningful than they could ever be alone. Field recordings from her present and found recordings from someone else’s past swirl above and beneath her own words and guitar notes, drones of every pitch filling the background and stretching the songs into worlds of their own. When atomised into separate parts, the album is impressionistic, blurry and strange and difficult to describe, though when listened to as a whole, a blanket of stitches, it becomes something vivid and intuitive. As such, Hands in Our Names is able to convey things normal songs cannot, a freedom not just born of trope-avoiding experimentalism but somehow inherent in the very combinations of sounds, as though arranged into secret patterns or codes, magic spells that trump postmodern convictions. Rather than dying in open air upon leaving her mouth, Karima Walker’s communications bubble from within, stirring that dormant empathy that lies somewhere near the centre of us all. » – Wake the Deaf
MIKKO SAVELA
Mikko Savela is a guitarist of finnish origin, born and based in Umeå, Sweden. After exploring different genres of music with various groups, he turned into improvisation and started to experiment with different ways to play on the guitar. Today he have his guitar laying down, and use it more as a percussion instrument than a guitar, by plucking the strings by both hands and hitting metallic objects on the guitar body. Besides the guitar he uses different kind of microphones and electronics. Has played with Will Guthrie, Jerome Noetinger, Yan Jun, Hankil Ryu, Hong Chulki among others.
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le 10 juin à l’ atelier de l’étoile, 15 rue de dole
Les propositions artistiques de Marco Quaresimin sont fortement marquées par la relation du son avec l’espace et le temps, les corps en mouvement et l’environnement. Depuis 2011, il a exploré en solo différentes approches, qui vont de l’improvisation libre à l’interprétation d’une partition graphique. Ses performances peuvent être caractériseés par une énergie explosive proche de celle du free jazz ou susciter des états contemplatifs tissés sur de longues plages minimali- stes. Il a présenté ses travaux en France et en Italie dans différents contextes : théâtres, galeries d’art, manifestations en plein air. Le moteur de son dernier travail est l’équilibre entre continuité et micro variations constantes. Le terrain exploré est la la proximité avec l’auditeur et la communication entre les corps résonnants en s’appuyant sur les vibra- tions du sol.
JEUDI 20 AVRIL 2017 – atelier de l’étoile, rue de Dole
apéro dinatoire avec performances, projections, installations à partir de 18h
Soyez les bienvenus !!!
18-19 FEVRIER 2017
MINI FESTIVAL VISUEL ET SONORE
TATSURU ARAI
Tatsuru Arai
compositeur / artiste visuel sonore, il a étudié la composition au collège de musique Tokyo (BA / MA), et Hochshule für Musique Hanns Eisler Berlin (MA).
Ses travaux sont produits en Allemagne, Royaume-Uni, Swizterland, Danemark, Suède, France , Argentine, Mexique, Japon, etc…
L’ Opéra « Vitruvian » a été interprété à Berlin et Londres, comme forme innovatrice et contemporaine cet Opéra intégre de la musique classique aux nouvelles technologies. ÂGE MUSIQUE . Http://www.tatsuruarai.com/#!trans-ages-music/tlr5t
La thématique des recherches de TATSURU ARAI est de présenter la nature physique fondamentale de l’univers sous forme d’expériences perceptives. Cela pourrait se dire comme une esthétique de la «structure géométrique».
La perception humaine du son,comme phénomène physique, influence l’être humain ; ainsi la «structure géométrique» est un pilier fondamental qui nous permet de comprendre la vraie nature de l’univers : ou comment créer un moyen d’expérimenter une partie de la nature de l’univers à travers le son.
Cette performance présentera le nouveau travail « Arkhitek-ton » pour Sound-Visual live set extrait son nouveau système Algorithm « Hyper Serial Music » Http://www.tatsuruarai.com/#!hyper-serial-music/xndjm
Dans l’histoire de la technologie musicale, « Hyper Serial Music » veut ajouter à la notion de musique classique sérielle une nouvelle technologie de la musique, en partant de principes de sérialisme en trois points : le «structurel», le «complexe» et le «bruyant». Hyper-Serial-Music, c’est l’algorithme de musique généré que ce soit par l’état de l’art technologique telle que l’intelligence artificielle que par l’intelligence humaine native seulement.
XOVER
Le projet Xover est une performance sonore et visuelle électronique exécutée par Danilo Casti (me) et Travis McCoy Fuller (Boston, USA). Les performances englobent les problèmes de glitch, drone, noise et field.
Xover provient du regroupement de leurs parcours dans la musique électronique expérimentale, un mélange entre sons numériques et analogiques, entre programmation et pliage de circuits, entre des formes non idiomatiques et des objets sonores abstraits.
L’objectif est d’évoquer des images par des sons structurés, de perturber la perception du temps et les espaces audio, tout ce qui se superpose aux textures visuelles génératives.
DCP
IANO U.CELLO
D.C.P (David Pita Castro)
Influencé par la psycho acoustique, la musique électronique des pionniers du genre et les rituels chamaniques, D.C.P passe de nombreuses années à composer cloîtré chez lui entouré de ses machines, synthétiseurs, boîtes à rythmes et autres gadgets électroniques. En résultent de longues plages sonores où feedbacks poussés à l’extrême et distorsions s’entremêlent pour créer de douces textures mouvantes et apocalyptiques. Sa démarche musicale se caractérise par des combinaisons de fréquences hypnotiques provoquant chez l’auditeur des sensations parfois dérangeantes.
En Novembre 2015 il compose et joue en live la pièce Tetras Lyre sur le mondialement connu et reconnu Acousmonium du GRM au BFM lors du festival Présence électronique.
Collaborations : Béatrice Graf, POL, Coralie Lonfat, Marion Baeriswyl avec qui il a co-écrit la pièce de danse Il se décidera à gesticuler, Cyls (Allemagne), Niels Hesse (Allemagne), Ernst Halft (Allemagne), P.O.M.A (Italie), Versuscode (Australie)…
IANO U.CELLO // FEEDBACK VIDEO ANALOGICS MORPHOGENESIS
Composées à partir de téléviseurs et de larsens videos, les morphogenèses sont ici reproduites en images numériques.
Résultat d’une recherche sur l’ésotérisme de l’image à flux cathodiques, les fractales fluctuantes de l’installation mettent en miroir les générations de formes organiques et géométriques qui sont issues des technologies employés pas ces appareils d’hypnoses généralisées, à une époque pas si lointaine : les téléviseurs.
Cette expérience visuelle s’approche de celles effectuées avec la fameuse « machine à rêver » de Brion Gyrin, en effet les fréquences des images générées par ces écrans oscillent entre les ondes alpha (état de conscience apaisé) et bêta (période d’activité intense).
Ce chapitre est une expérience physique sans concession.
LEMPORTE SEBASTIEN // MORPHOGENESIS
MORPHOGENESE est issue d’une recherche sur la représentation et la génération de formes par le son à travers les fluides. Les corps solides et fluides sont sensibles aux vibrations et le son est le représentant de ce phénomène à l’oreille humaine. L’activité vibratoire du son et sa perception par l’ensemble du corps, pose la question de sa physicalité.
L’installation nous permet de reconnaître les réponses géométriques de l’eau sous l’influence d’un son. Le corps humain étant composé à 80% d’eau environ ; la question de l’influence du son, au delà de sa perception acoustique, se pose. Dans un rapport de réponse physique, la boite crânienne, la cage thoracique, l’abdomen avec son deuxième centre nerveux, sont les centres émotionnels composés principalement d’eau.
Une représentation sensible de ces phénomènes à travers l’installation crée des liens entre notre environnement et notre nature, mais aussi une vision micro/macrocosmique des isomorphes possibles entre notre univers et nos natures.
Les visuels produits, appelés « morphogenèses », sont des représentations des activités de la matière « eau » sous l’action de la vibration. Par extension, elles sont une représentation de ce qui à lieu en dehors et à l’intérieur de notre corps.
Ces recherches sont aussi un travail d’étude et de composition basée sur les fréquences.
Kyosuke Terada (guitare / voix) et Takuma Mori (batterie / voix) présentent une approche noise extrême du jazz et de improvisation libre.
Ils continuent de chercher le point de fusion du groove et du bruit, le jazz indésirable, et pas question de punk wave par l’improvisation de formes libres.
Polymorphes, ils ne se limitent pas à une vision intérieure de la forme.
Activistes indépendantistes de l’art, ils organisent de nombreuses rencontres à Tokyo.
En 2012 ils inaugurent le label « OOOSOUND » avec GEVABOW et VAU !
Ce sera l’occasion de revoir une nouvelle de ces performances « voice noise no FX » cette année, à l’occasion de son passage en europe, mais aussi une rencontre duo avec le système FEEDBACK Iano U.Cello et pourquoi pas d’autres surprises …
Le projet de de Kazehito Seki est un des terrains d’ expérimentations sonores les plus improbables et impressionnants. Entre noise, hardcore, musique concrète ; il appartient à une scène particulière au Japon. Il utilise sa voix comme seul instrument afin de produire des sonorités très puissantes, rapides et incomparable puisées dans les techniques de chants traditionnels. Il peut passer de sinusoïdes subtiles au bruit blanc en une micro-secondes
Artiste sonore, musicien, bruyant, interprète, compositeur, improvisateur ou tout ce que vous voulez appeler (dépend largement de votre goût).
En parcourant de nombreuses ondes musicales comme tout le monde, il concentre son travail sur l’exploration de la rétroaction analogique, numérique et hybride (larsen) (feedback), à l’aide d’un ordinateur portable et d’un mixeur analogique.
Auto-compositeur- constructeur in sitù, Il a conçu à partir de récupérations un instrument approprié à la précision recherchée dans l’outil qui permettra re creusé dans la face cachée de l’improvisation.
Contrairement aux accords, au vent et aux peaux des projections du ou des sons acoustiques, la rétroaction/feedback est une évolution sonore implacable, un contrôle dans le non-contrôle, le tout dans un automatisme féroce de polarités.
Nikola est aussi la moitié de l’inclassable Overload Collapse avec Nicolas
J. Fasnacht, duo qui publient des textes pour le webzine 20Hz de Multiple Tap.
Autres membre du trio l’expérience MERJ de 2004 à 2007 avec
UrbanAddictive et VERJ =.
Pas d’autres définition, c’est un activiste à plein temps.
Actif pour le LUFF – Lausanne Underground Film & Music Festi-
Val, faisant partie de l’équipe d’organisation en tant que co-
Technicien du son et nombreuses autres petites choses depuis 2004.
Notamment un gros travail de coordination et échange entre le LUFF et TOKYO (2012)
et HONG KONG (2016).
2004 – année bénie de naissance du [Net] label merj.ch ;
devenu l’expérience sociale Mental USB / Cloud projet MEOVCO.com depuis 2014.
En mars 2016, « Les Galeries MEOVCO.com » a ouvert ses portes
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PERFORMANCE SONORE ET VISUELLE
à la SMAC La Rodia
vendredi 27.01.17
Les géophonies & hétérotopies acousmatiques de Jean VOGUET proviennent des recherches qu’il effectue sur les » espaces sonores autres » : écosystèmes virtuels aux structures complexes (composés de matières sonores non vivantes provenant toutes de la synthèse additive, soustractive, granulaire et par table d’onde) et caractérisés par un très large spectre de fréquences variables ; dans une errance musicale initiatique – hors du temps et hors frontières – à dimension illimitée et temporaire.
Dans « l’Odyssée », chaque Station propose une exploration virtuelle des (exo)planètes que l’humanité devra trouver, puis habiter, pour survivre.
MORPHOGENESE est issue d’une recherche sur la représentation et la génération de formes par le sons à travers les fluides. Les corps solides et fluides sont sensibles aux vibrations, et je considère le son comme le représentant de ce phénomène à l’oreille humaine. L’activité vibratoire du son et sa perception par l’ensemble du corps, pose la question de sa physicalité. L’ installation nous permet de reconnaître les réponses géométriques de l’eau sous l’influence d’un son. Le corps humain étant composé à 80% d’eau environ ; la question de l’influence du son, au delà de sa perception acoustique, devient pertinente.
Dans un rapport de réponse physique, la boite crânienne, la cage thoracique, l’abdomen avec son deuxième centre nerveux, sont les centres émotionnels, et sont aussi composé principalement d’eau. Une représentation sensible de ces phénomènes à travers l’installation crée des liens entre notre environnement et notre nature, mais aussi une vision micro/macrocosmique des isomorphes possibles entre notre univers et nos natures. Les visuels produits, appelés « morphogenèses », sont des représentations des activités de la matière « eau » sous l’action de la vibration. Par extension, elles sont une représentation de ce qui à lieu en dehors et à l’intérieur de notre corps.
du Local 103 grande rue » Ex_ Nihilo » créations et rencontres en tous genres
14 DEC. 2016
Miguel A. Garcia and Ilia Belorukov
Miguel A. Garcia and Ilia Belorukov met in 2013 in Saint-Petersburg at a recording session. After some time they started to work as a duo. Their first album « Wolkokrot » was released by the hungarian label Inexhaustible Editions in 2015. It was a studio work with various electronics, sound samples and field recordings as blurred reflections of memories. As a live unit Miguel and Ilia plays using improvised contexts and working with sounds from saxophone, electronic devices and objects. First tour of the duo will happens in December 2016 in Switzerland and France.
Photos: https://drive.google.com/drive/u/0/folders/0B8A-1hG47MMKOGVfVmxZNWhHVjA
Soundcloud: https://soundcloud.com/musicworm/miguel-a-garcia-ilia-belorukov-zemlekop
Album: https://inexhaustibleeditions.bandcamp.com/album/wolkokrot
Miguel A. García (aka Xedh) from the Basque country, is one of the most dynamic sound artists in the Spanish scene. His work focuses mainly on the composition and electroacoustic improvisation. He uses sounds taken from electronic devices residues, often interrelated with field recordings or acoustic instruments, in the search of an intimate, intense and immersive experience. A music of adventurous forms, full of contrasts and having nevertheless a sense of humor. His background comprises fine arts and audiovisual technology, questioning the borders between electro-acoustic academic music, industrial music and the so called outsider music.
With his solo project or different groups, he has played in festivals in countries like Belgium, France, Germany, Italy, Mexico, The Netherlands, Norway, Spain, Poland, Portugal, Russia & USA. His work has been released worldwide by many labels, including Auditory Field Theory, Copy For Your Records, Geraeuschmanufaktur, Hideous Replica, Insub, Intonema, Pilgrim Talk, Rhizome.s, Mikroton, Nueni or Zeromoon.
He works regularly with musicians like Ilia Belorukov, Sebastien Branche, Jean-Luc Guionnet, Alfredo Costa Monteiro, Seijiro Murayama or Hector Rey, and has collaborated with artists such Lali Barriere, Heddy Boubaker, Alexander Bruck, Kurt Liedwart or Nick Hoffman. As a promoter, amongst other projects, is the founder of the Club Le Larraskito and director of the Zarata Fest, both platforms dedicated to the broadcast of challenging art and music. http://www.xedh.org
KOMOREBI
komorebi signifie « rayon du soleil a travers les arbres » ou d’une autres façon les interactions entre la lumières et les feuillages.
Komorebi joue la musique inspirée par la nature. http://www.shizukuaosaki.com/komorebi
NUANCES D’ENGRAIS
:indusy-noise dance music
Bruxello-Mulhousien – ödl
Nuances d’engrais c’est de la musique improvisée à base de boîtes à rythmes, feedback, looper, effets, radio, synthétiseurs, sèche-cheveux ou tout ce qui peut faire du bruit. C’est à la fois Dur et doux, chaud et froid ou encore saint d’esprit et névrosé.
komorebi signifie « rayon du soleil a travers les arbres » ou d’une autres façon les interactions entre la lumières et les feuillages.
Komorebi joue la musique inspirée par la nature. http://www.shizukuaosaki.com/komorebi
NUANCES D’ENGRAIS
:indusy-noise dance music
Bruxello-Mulhousien – ödl
Nuances d’engrais c’est de la musique improvisée à base de boîtes à rythmes, feedback, looper, effets, radio, synthétiseurs, sèche-cheveux ou tout ce qui peut faire du bruit. C’est à la fois Dur et doux, chaud et froid ou encore saint d’esprit et névrosé.
04 nov 2016
PASCAL BATTUS (dispositif de surfaces rotatives)
ANOUCK GENTHON (violon)
Pascal Battus et Anouck Genthon tracent dans l’espace des signes sonores. Du dispositif de surfaces rotatives au violon, ce traçage de son se déploie à partir de gestes singuliers, dans un mouvement des corps et du son qui oscille entre acoustique et amplification spatialisée, générant ainsi plusieurs plans d’écoute.
Deux guitares électriques suffisent pour partir dans le cosmos
Jean-François Pauvros, guitariste inclassable. Après avoir quitté les bals, il a joué dans Catalogue (avec Berrocal et Artman), puis a traversé le monde jalonné de rencontres, Arto Lindsay, Ted Milton, Siegfried Kessler, Ernie Brooks, Rhys Chatam, Evan Parker, Aki Onda, les poètes Charles Pennequin et Gozo Yoshimasu… Il se montre comme chanteur de blues, chanteur incantatoire avec Keiji Haino, jusqu’à la chanson populaire avec la reprise de « Mon homme »…
Makoto Kawabata, guitariste, à l’instrument greffé à la peau. Furieux meneur d’hommes dans le groupe Acid Mothers Temple, compositeur impétueux entre musique contemporaine, hard rock (ses premières influences étant Stockhausen et Deep Purple) et la musique traditionnelle (son amour des Troubadours), il a joué avec David Allen de Gong, Damo Suzuki, André Minvielle…
Leur collaboration s’affermit depuis leur rencontre en 1999 autour d’une géographie commune faite de psychédélisme, de jeux minimalistes et de frasques sonores telluriques.
HUGUES VINCENT (violoncelle)
TAKUMI SEINO (guitare)
Depuis leur rencontre en 2008, Takumi Seino et Hugues Vincent partagent chaque année au Japon leur musique sous différentes formes : électrique, acoustique, improvisation, compositions, duo ou rencontres avec d’autres musiciens.
En 2015, ils publient sur le label VOS leur premier cd en duo,Last Tree. La tournée de sortie européenne de novembre 2016 sera pour eux l’occasion de présenter leur musique mais également de poursuivre leur travail de rencontres improvisée avec d’autres musiciens.
LA MANTA
GOLEM MECANIQUE
CLARA DE ASIS
Clara de Asis (ESP) – guitare électrique, objets
Guitariste et compositrice, Clara de Asís est née en Espagne et réside actuellement à Marseille. Que ce soit par ses oeuvres acousmatiques, ou comme ici dans une vraie démarche d’expérimentation sonore sur sa guitare à l’aide de différents objets, son univers reste délicat et fluide.
Cependant les ruptures liées à ses « micro-gestes » créent des dislocations dans ce continuum, des événements contrastés. Ses oeuvres ont été diffusées sur plusieurs plateformes et radios internationales et elle s’est également produite dans de nombreux événements en France comme à l’étranger. Elle collabore avec des musiciens et artistes comme Laura Vazquez, An Tez ou d’Incise.
En 2013, elle sort son album Memoryscapes sur le label Myrdal SoundLab (Mexique), tandis qu’elle rejoint le label Daath en 2014 sur lequel elle a sorti son disque La Troisième Heure, et que son dernier album en date NUNUNU est édité par le label Pan Y Rosas (Chicago).
S’intéressant particulièrement à la manipulation du son et de la voix, Karen Jebane se produit sous le nom Golem Mecanique. Manipulant les enregistrements de terrains, les sons concrets, les larsens, la voix (chantée, parlée, chuchotée), elle explore un univers poétique envoutant où se mélangent présences fantomatiques des voix fixées sur le magnétophone.
Elle s’intéresse également au renouveau des musiques traditionnelles en détournant quelques instruments tels que le cithare ou la boîte à bourdons utilisés dans une démarche intuitive et expérimentale, le tout illustrant un langage spirite autour du souvenir et de la mémoire.
Golem Mécanique a sorti un triple album Hounsi chez Nowaki et Stroj/Zamek chez Drone Sweet Drone.
Yann Gourdon : vielle à roue, Antez : percussions
Deux sculpteurs sonores adepte du continuum, qui travaillent sur la vibration de l’air en utilisant les processus physiques de l’acoustique.
La circularité commune de ce duo crée une spirale d’énergie, un vacuum aspirant. Deux artistes envisageant les champs vibratoires et la perception sonore comme un médium, qui explorent la matière sonore en interrogeant les perceptions physiques du son. https://www.youtube.com/watch?v=TMIzPRD6juA
… le son est son jardin où il bêche, enregistre, bouture les bandes magnétiques.
Un jardin où, les mauvaises herbes sont parfois l’objet de tous ses soins, où les ronces sonores fouettent les oreilles de ses compagnons pour les réveiller et les faire aller “ailleurs”.
Dans ses serres mûrissent des centaines d’heures d’enregistrement, la vie de la musique improvisée européenne.
Derrière ses magnétophones alambics, il capte la vie au quotidien et nous la restitue en poèmes sonores.
Délicatesse, violence… sa musicalité, son refus du bavardage ont séduit d’autres fameux alchimistes du son comme Steve Lacy, Fred Frith, Derek Bailey, Robert Wyatt, Joëlle Léandre, Evan Parker…
Féru de musiques improvisées et praticien patenté (on se rappelle sa participation au brutal Cuir, déjà sur Fou Records), Jean-Brice Godet a reçu les enseignements de Fred Frith et collabore avec Joëlle Léandre;
10 OCT 2016
LiFeLOop
(Berlin) http://lifeloop.org/
« Je suis actuellement principalement intéressé par le « live-sampling » des bruits et sons que je trouve sur place, dans la ville où je joue, des sons de la vie quotidienne. Dans le processus de sample et de manipulation de ces objets sonores, je révèle une nouvelle histoire, un voyage au coeur de la cité. »
Kenneth
(Danemark)
Noizpozor
France / Danemark
Noizpozor est un concept ouvert de musique improvisée à plusieurs musiciens.
« Androvirus » et « Trodza » membres récurrents, se retrouveront après un voyage de quelques années de Trodza en Thailande.
23 OCT 2016
Morgan Evans-Weiler
(Etats-Unis)
MORGAN EVANS-WEILER vient de boston . Sa pratique va de la composition et l’installation sonore au design. Il explore les processus de la creation inérents à l’expérience physique et temporelle, à travers les territoires de l’urgences et de l’environnement.
Ces performances utilisent les objets, les phénomènes psychoacoustiques, la stase et l’immobilité et la spacialisation pour explorer nos expérience du temps et de l’espace.
Evans Meiler a notamment collaboré avec Seth CLUETT Seth Cluett, Sarah Hennies, Mike Bullock, Dave Gross, Bhob Rainey, Dafne Vincent-Sandoval, Jed Speare et beaucoup d’autres.
Il est le directeur de l’enemble de Nouvelle Angleterre « ORDINARY AFFECT » composé de Jurg FREY et Magnus Grandberg pour la création d’oeuvres d’ Antoine BEUGER.
L’écrivain steve SMITH qualifiera son dernier album « VIOLIN SINE » de transfixing , en francais « qui consolide en la traversant « .
Cet album a été inclus dans la liste du Boston Globe » meilleur album classique local de 2015′
27 OCT 2017
MEI ZHIYONG
(chine)
Poursuivant une forme physique d’extase/ravissement sonique, esprit explorateur avec le corps somme outil, le chinois MEI ZHIYONG (vivant à CHANGCHUNG CITY en Chine), repousse constamment ses propres limites, recherchant un néant libérateur au-delà de toute logique. Explosions/éclats actionnistes épais et/ou tranquillement hystériques/frénétiques/débordants, essors ascensionnels d’électroniques vertigineuses, pistages de traces inconnues au sein d’enregistrements environnementaux…
(Japon)
Depuis plus de dix ans, le projet de « voice noise no FX » de Kazehito Seki est le terrain des expérimentations sonores les plus improbables et impressionnantes. Entre noise, hardcore, musique concrète il appartient à une scène assez particulière au Japon. Il utilise sa voix comme seul instrument afin de produire des sonorités très puissantes, rapides et incomparable aux techniques de chants traditionnels. Il passe de sinusoïdes subtiles au bruit blanc en une micro-secondes comme ici :
Le projet solo de Nikola Mounoud sous ce pseudonyme visuel que sont les fameux . . . est un fin travail autour du larsen comme unique source sonore. Le larsen est pour lui une matière très riche qui permet de créer toutes sortes de sonorités aux dynamique très puissantes et qualité sonore incomparable. Ses concerts sont l’occasion pour lui d’explorer différentes idées autours de la destruction quasi-systématique de son matériel et surtout de son ordinateur portable d’une marque internationale. Une relation d’amour-haine sans pareil.
Loïc Grobéty est un musicien qui joue et s’intéresse à tous les styles mais avec
une vision punk, engagée et non conformiste. Il est contrebassiste,
bassiste et DIY. Il vient de l’underground et des musiques dites extrêmes
(black metal, death metal, grindcore) dans lesquelles il a évolué pendant
17 ans avec des groupes comme Enigmatik et Daïgoro (Il était compositeur,
leader et booker). Actuellement, il joue autant du jazz (Marc Jufer
Immersion 4tet) de l’improvisation (divers rencontres) ainsi que des
projets avec des approches personnelles comme Myrmek (drone/doom/noise) et
Convulsif (black metal, noise). Il est programmateur des festivals Hors
Normes et Jazz en Rade. https://soundcloud.com/lolozigoto www.basslolo.onlc.fr
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