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A Ouagadougou, il y a des zones qualifiées de criminogènes qui sont très mal ou pas du tout  éclairées. Quand on sait que les bandits aiment l’obscurité ou profitent d’elle pour dépouiller des pauvres citoyens de tous leurs biens, il y a lieu de s’inquiéter de cet état de fait. Certes, le gouvernement fait des efforts en matière d’éclairage des voies publiques. Mais force est de constater que ces efforts sont insuffisants car les zones non éclairées où sévit le grand banditisme sont légion. En tout cas, il urge que toutes les zones considérées comme des lieux à hauts risques, soient dotées de lampadaires. Cela pourrait, à coup sûr, contribuer à réduire les actes de délinquance dans la cité.

 

Valerie TIANHOUN


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